Covid-19 : le parquet européen enquête sur l’achat de vaccins Pfizer par Ursula Von Der Leyen pour l’UE!

Le parquet européen a annoncé, vendredi dernier, avoir ouvert une enquête sur l’achat de vaccins anti-Covid dans l’Union européenne, sans plus de précisions. Face aux ravages de la pandémie de coronavirus qui a atteint l’Europe début 2020, Ursula Von Der Leyen, au nom de la Commission européenne, avait décidé de procéder à l’achat groupé de vaccins Pfeizer pour le compte des 27 Etats membres.

Le parquet européen a annoncé, vendredi, avoir ouvert une enquête sur l’achat de vaccins anti-Covid dans l’Union Européenne , sans plus de précisions. « Le bureau du procureur général européen (ou EPPO en anglais, European Public Prosecutor’s Office) confirme avoir une enquête en cours sur l’acquisition des vaccins anti-Covid dans l’UE », a-t-il indiqué dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux.

« Cette confirmation exceptionnelle intervient en raison d’un intérêt extrêmement élevé du public (sur cette question). Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade », ajoute l’EPPO. Face aux ravages de la pandémie de coronavirus qui a atteint l’Europe début 2020, la Commission européenne, sous ordres de la présidente de sa commission, Ursula Von Der Leyen, avait décidé de procéder à l’achat groupé de vaccins pour le compte des 27 Etats membres.

Un échange de SMS entre Ursula Von der Leyen et le PDG de Pfizer

Plus de la majorité des doses ont été achetées ou réservées au duo américano-allemand Pfizer/BioNTech, mais cinq autres fabricants ont vu leurs vaccins être homologués par le régulateur européen (Moderna, AstraZeneca, Janssen, Novavax et Valneva). Des ONG et des eurodéputés ont critiqué le fait que les aspects clés des contrats restent confidentiels.

Un échange de SMS entre la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer Albert Bourla, révélé par le New York Times, a suscité une polémique et même conduit la médiatrice de l’UE à intervenir. Face au refus opposé par les services de la Commission à un journaliste qui demandait à en connaître la teneur, la médiatrice, Emily O’Reilly, a estimé, cet été, que le public devait pouvoir avoir accès aux textos échangés par les institutions de l’UE dans les mêmes conditions que pour les autres documents de travail européens.

Pas de négociation directe des contrats


Sollicité par l’AFP, un porte-parole de la Commission a fait valoir qu’Ursula von der Leyen avait échangé des SMS avec le PDG de Pfizer « comme elle a eu des échanges avec les PDG d’autres entreprises » afin de les convaincre de fournir l’UE « conformément aux procédures ». Mais la cheffe de l’exécutif européen « n’a pas négocié les contrats » avec les laboratoires pharmaceutiques , a ajouté le porte-parole.

Il a expliqué que ces négociations avaient été supervisées côté UE par un comité directeur associant « des représentants de la Commission et de tous les Etats membres ». Ces derniers « avaient la possibilité de se retirer du contrat », selon lui. Le parquet européen, officiellement institué en 2021, est un organe indépendant de l’UE chargé de lutter contre la fraude aux fonds de l’Union, et toute autre infraction portant atteinte à ses intérêts financiers (corruption, blanchiment de capitaux, fraude transfrontière à la TVA).

Cette instance supranationale est chargée d’enquêter mais aussi de poursuivre et traduire en justice les auteurs de telles infractions, un pouvoir inédit dont ne disposait pas notamment l’Office européen de lutte antifraude (Olaf).

Il n’en reste pas moins que, plutôt que de rendre public les SMS concernés, Ursula Von Der Leyen les a tout simplement effacé. Acte qui pose problème du fait que son mari, HHeiko Von Der Leyen, ai été engagé, en novembre 2020, comme directeur médical de la société de biotechnologie états-unienne « Orgenesis », spécialisée dans les thérapies cellulaires et géniques et qui est le fournisseur de… Pfizer! Qui plus est, la commande passée à Pfizer montre que le vaccin du laboratoire a été acheté à 15,5€ l’unité, alors que son prix était, sur le marché, fixé à 12€! Prix payé d’autant plus incompréhensible que l’Union Européenne, faisant un achat groupé, a fait l’acquisition de 300 millions de doses!

Il ne reste plus, à présent, qu’à souhaiter que la Justice fasse véritablement son travail et que Mme Von Der Leyen, principal agent des Etats-Unis d’Amérique (il faut dire que ses ancêtres esclavagistes ont largement contribués à la grandeur des EUA – certains finissant même gouverneurs de certains Etats du pays) soit mise hors d’Etat de nuire à l’Union Européenne, elle qui agit comme si elle était la présidente des « Etats-Unis d’Europe », alors qu’elle n’a été élu par aucun citoyen européen, placée par l’Allemagne qui s’en était débarrassée tant elle fut considérée comme la pire ministre de la défense de l’Allemagne d’après deuxième guerre mondiale.

Christian Estevez
Didier Maréchal

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