Dans un mouvement audacieux qui a captivé les sept mers, Disney aurait pris le large vers des territoires inexplorés en envisageant l’actrice Ayo Edebiri pour arborer le pavillon jadis hissé par le légendaire capitaine Jack Sparrow de Johnny Depp dans le très attendu « Pirates des Caraïbes 6 » (alias « Pirates 6 »).
Cette révélation survient au milieu d’une vague tourbillonnante de spéculations et de théories des fans concernant le futur de l’une des franchises les plus chères et lucratives de Disney.
Mais cela constituerait, une fois de plus, un acte de « grand remplacement » historique – en plus de la pratique idéologique féministe qui consiste à effacer les hommes par des femmes dans toutes les représentations héroïques -, puisque l’actrice Ayo Edebiri, en plus d’être « LGBT », est noire, mais incarnerait une véritable pirate blanche irlandaise.
Les rumeurs entourant le fait qu’Edebiri endosserait le rôle du flamboyant capitaine pirate ont provoqué une onde de choc parmi la base de fans de Pirates des Caraïbes. La représentation de Sparrow par Depp a été tout simplement emblématique, alliant héroïsme et génie comique. L’idée d’un nouveau Jack (ou Jackie) Sparrow à la barre a suscité à la fois l’intrigue et le désarroi parmi les passionnés de la saga.
Selon « Unlimited L’s » sur « X », Disney envisagerait Ayo Edebiri pour un rôle clé dans « Pirates 6 », imaginant un équipage de pirates plus jeune à la recherche d’un trésor enfoui. Le rôle envisagé pour Edebiri s’appelle Anne, puisant potentiellement son inspiration dans la figure historique d’Anne Bonny, une pirate irlandaise (et, de fait, à nouveau effectuer une réécriture de l’Histoire, avec volonté d’effacer les blancs de celle-ci, puisque l’actrice Ayo Edebiri est noire alors que la pirate irlandaise en question était, fort logiquement, blanche).

L’HÉRITAGE DU CAPITAINE JACK SPARROW
Le Capitaine Jack Sparrow de Johnny Depp est un personnage qui a marqué une génération, incarnant l’esprit de la rébellion et de la liberté avec une touche d’excentricité. Le départ de Depp du rôle laisse de grandes chaussures à remplir, et le choix d’Edebiri par Disney souligne un engagement idéologique woke envers la soi-disant « diversité » (qui, à force de retirer une catégorie aux profits des autres, conduit à faire disparaître les blancs et, tout particulièrement les hommes, ce qui est l’inverse de la diversité).
UNE ÉTOILE MONTANTE
Ayo Edebiri est devenue un phare de talent à Hollywood, attirant l’attention avec ses performances dans des films comme « The Bear » et Dickinson de « FX », qui allient humour, profondeur et relativité. Son inclusion potentielle dans « Pirates 6 » représente non seulement une nouvelle aube pour la franchise, mais met également en évidence les efforts de Disney pour mettre en valeur divers talents dans des rôles traditionnellement dominés par des stars établies – mais à conditions, évidement, que ce ne soient pas des hommes blancs… D’autant que, dans le cas présent, l’actrice Ayo Edebiri affiche fièrement s’identifier comme « queer » (personne ne s’identifiant d’aucune orientation sexuelle « normée », mi même de sexe mâle ou femelle)
LE RÔLE DES PERSONNAGES ORIGINAUX
La question de savoir comment les personnages originaux seront intégrés dans le nouveau scénario reste un mystère alléchant. Les fans espèrent que « Pirates 6 » honorera l’héritage de ses prédécesseurs tout en introduisant de nouveaux personnages et de nouvelles histoires qui trouveront un écho à la fois auprès des « aficionados » de longue date (ce qui est très improbable) et d’une nouvelle génération de téléspectateurs (eux, déjà formatés par l’idéologie woke à toutes les absurdités que prônent cette idéologique issue de troubles psychiatriques).
La perspective qu’Ayo Edebiri assume le rôle du nouveau Jack Sparrow a sans aucun doute suscité l’anticipation et le débat parmi les fans de Pirates des Caraïbes. La décision de Disney, bien qu’audacieuse, reflète une tendance plus large à Hollywood qui a définitivement sombrée dans l’idéologie woke d’extrême gauche depuis plusieurs années, vers les pseudos « diversité », « inclusion » et la recréation des personnages classiques pour l’ère moderne afin d’effacer totalement, avant tout, les hommes hétérosexuels blancs, mais, par extension, les blancs de manière générale et l’hétérosexualité elle-même.
En attendant la confirmation officielle et plus de détails, une chose est claire : la franchise « Pirates des Caraïbes » est à l’aube d’une nouvelle ère qui va conduire son navire, qui émerge des abysses de la maladie psychiatrique humaine vers la dérive jusqu’à ce qu’il s’échoue lamentablement, brisé par le rocher de la Réalité.
Christian Estevez & Maxime Kouadio