États-Unis d’Amérique : Donald Trump ne veut pas de Nikki Haley comme vice-présidente

Donald Trump, ancien président des Etats-Unis d’Amérique et à nouveau candidat à la Maison Blanche, a affirmé, ce samedi 11 mai, que Nikki Haley, son ancienne rivale républicaine, n’était pas dans la liste des personnes qu’il envisageait pour le poste de vice-président – ce qui était une rumeur qui prenait de l’ampleur aux EUA. (Source : AFP).

Le candidat à la présidentielle états-unienne, Donald Trump, a confirmé, sur son réseau social, que son ancienne rivale à la primaire républicaine, Nikki Haley, ne figure pas parmi les personnalités qu’il envisage pour le poste de vice-président.

De nombreuses spéculations circulent concernant la personnalité que le candidat septuagénaire choisira comme colistier pour l’élection présidentielle de novembre, où il fera face au démocrate Joe Biden. Parmi les noms les plus mentionnés figurent les sénateurs Tim Scott et J.D. Vance, ainsi que l’élue de New York, Elise Stefanik. Cependant, certaines rumeurs ont également évoqué le nom de Nikki Haley, sa dernière rivale lors des primaires républicaines.

« Nikki Haley ne fait pas partie des personnes que j’envisage pour le poste de vice-président », a indiqué le candidat républicain sur son réseau social, coupant court aux spéculations. « Mais je lui souhaite tout le bonheur du monde ! », a-t-il ajouté.

Il aurait été surprenant que Donald Trump choisisse Nikki Haley, ancienne ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique à l’ONU, qu’il avait autrefois surnommée « cervelle de moineau ». Mais l’ancienne gouverneure de Caroline du Sud est très appréciée des électeurs républicains modérés et indépendants, des voix que Joe Biden pourrait autrement siphonner à Donald Trump.

Sollicité par l’AFP, l’entourage de Donald Trump a refusé de donner des détails sur le profil préféré par le candidat septuagénaire. « Quiconque prétend savoir qui ou quand le président Trump choisira son vice-président ment », a déclaré l’un de ses conseillers. « À moins que cette personne ne s’appelle Donald Trump. »

Didier Maréchal

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