Après le classement sans suite de l’enquête pour harcèlement moral visant le politicien et alors député du parti des « verts » (EELV), Julien Bayou, les Écologistes reconnaissent les torts causés et annoncent une réflexion interne. Alors que l’ancien secrétaire national du parti critique vivement sa gestion de l’affaire, EELV affirme vouloir tirer les enseignements de cette crise provoquée intentionnellement par les féministes Sandrine Rousseau et Marine Tondelier, pour évincer un concurrent à la direction du parti.
Deux jours après l’annonce du classement sans suite de l’enquête pour harcèlement moral et abus de faiblesse visant Julien Bayou, le parti « écolo-gauchiste « Europe Écologie-Les Verts » (EELV) a réagi par un communiqué, ce samedi 22 février. Le parti reconnaît les « souffrances » et les « conséquences négatives » de cette affaire pour l’ancien secrétaire national et s’engage à un débat interne sur les enseignements à en tirer.
L’enquête, ouverte après une plainte de son ex-compagne, a été classée sans suite pour « absence d’infraction ». Lors d’une conférence de presse tenue après cette décision, Julien Bayou a sévèrement critiqué son ancien parti, dénonçant une gestion défaillante de l’affaire.
« Nous regrettons que cette affaire, amplifiée par sa médiatisation, ait pu occasionner des souffrances et eu des conséquences négatives sur la vie de Julien Bayou », déclarent Les « écologistes ». Le bureau exécutif du parti souligne également l’impact de cette polémique sur le mouvement lui-même, souvent jugé « trop ou pas assez » impliqué dans cette affaire.
« EELV » rappelle que son enquête interne, menée en octobre dernier par un organisme externe, avait abouti aux mêmes conclusions que la justice.
Les Écologistes affirment que cette situation doit « guider l’amélioration de [leurs] pratiques politiques » et réitèrent leur attachement au principe de la présomption d’innocence. Ils insistent toutefois sur la nécessité de poursuivre la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, un enjeu central de leur engagement.
Julien Bayou, quant à lui, dénonce une gestion « médiocre », « lâche » et « basse » de son affaire par la direction actuelle d’EELV. L’ancien député estime avoir « tout perdu », après avoir été contraint de démissionner de ses fonctions de secrétaire national du parti et de co-président du groupe écologiste à l’Assemblée Nationale à l’automne 2022.
Rappelons que cette affaire à été lancée par la fasciste féministe-écolo « brune-verte », Sandrine Rousseau, profitant de son large accès à la parole publique dans tous les médias pour parler d’une « affaire » d’ordre privé de la vie de son « collègue », mais surtout conçurent direct à l’accès suprémaciste de Rousseau mais aussi de Marine Tondelier, qui s’en ai tout autant largement faite l’éco, au nom du « grand principe » de justice », et qui a valu à Julien Bayou un harcèlement médiatique, mais aussi physique – des hordes de féministes fanatiques s’étant mises à le pister, l’espionner et le harceler partout, se prenant pour une police des mœurs, comme cela en est le principe dans toute idéologie sectaire et fasciste – provoquant un assassinat social et professionnel comme l’ont toujours pratiqué toutes les idéologies extrémistes s’auto-proclamant « purificateur de la société » (se donnant le droit, de fait, de s’immiscer dans la vie privée de qui elle veut), et qui est devenu la norme à gauche de l’échiquier politique.
Outre le fait que Rousseau et Tonnelier ont agit en ayatollah du féminisme, par convictions fanatiques, cela leur a surtout permis d’évincer leur principal rival à la tête de leur parti politique déjà de nature dictatoriale, en utilisant l’une des principales causes « à la mode » dans les sociétés occidentales déjà sous la coupe de l’ordre féministe, comme c’est le cas de la France, que sont les « violences faites aux femmes », une « réalité augmentée » dans le but, non pas d’être de permettre aux femmes d’être les égales des hommes, mais de prendre, « définitivement », les plein pouvoir sur « le monde » (ce qui est, l’essence même du féminisme et son premier discours des mouvements nés au XIXe siècle de l’ère commune).
Ces agissements, tant de la part des deux politicardes dictatrices du parti « EELV », que des militantes, montre à quel point, d’une part, elles organisent une dictature totale au nom d’un pseudo « ordre moral » sans contrepouvoir possible, qui fait donc de nombreuses victimes innocentes, et, d’autre part, que, de ce fait, elles prouvent que, oui, la femme est bien l’égale de l’homme, y compris dans la façon sournoise de prendre le pouvoir et de la soif de celui-ci.
Clara Höser & Christian Estevez