Zoë Saldaña, qui incarne Neytiri dans Avatar, a réussi, lors d’une interview à la chaîne de divertissement « Collider », a faire des « non révélations » sur les prochains opus de la saga « Avatar, qui ont encore plus aiguisé l’appétit des fans de base de l’œuvre de James Cameron.
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Tir mortel sur le tournage de Rust : Alec Baldwin plaide non coupable d’homicide involontaire
L’acteur états-unien, Alec Baldwin, accusé d’homicide involontaire après son tir mortel sur le tournage du western « Rust » en 2021, a plaidé non coupable ce mercredi 31 janvier. Il risque jusqu’à 18 mois de prison. (Source : AFP).
Lire la suite Tir mortel sur le tournage de Rust : Alec Baldwin plaide non coupable d’homicide involontaireCinéma : Après 40 années de travail et un budget « record », le film de science-fiction de Francis Ford Coppola va enfin voir le jour !
Francis Ford Coppola réalisateur de légende va enfin dévoiler son film sur lequel il a travaillé plus de quatre décennies.
Francis Ford Coppola, incontestablement l’un des plus grands réalisateurs de tous les temps avec des chefs-d’œuvre tels que Le Parrain en 1972 et Apocalypse Now en 1979, n’envisage pas la retraite à 84 ans. Un nouveau long-métrage verra le jour cette année, mais ce ne sera pas une production ordinaire. Le réalisateur légendaire travaille sur ce projet depuis 40 ans, et oui, vous avez bien lu, il consacre quatre décennies à Megalopolis, l’un des films les plus attendus de 2024 !
L’année 2024 s’annonce riche en films très attendus, tels que la suite de Dune, Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire, La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume, ou encore Furiosa. Si vous avez du mal à choisir quel film voir au cinéma cette année, vous aurez l’embarras du choix ! Parmi ces sorties très attendues, Megalopolis, le dernier film de Francis Ford Coppola, occupe une place particulière. Les admirateurs du cinéaste emblématique sont impatients de découvrir ce long-métrage, qui arrive 13 ans après sa dernière production, Twixt. Avec 40 ans de travail derrière lui, beaucoup sont curieux de découvrir ce projet.
Megalopolis, un film de science-fiction, raconte l’histoire d’un architecte déterminé à reconstruire la ville de New York après une catastrophe majeure, aspirant à créer une véritable utopie. Cependant, son projet est entravé par le maire de la ville, opposé à cette vision novatrice. Cette situation place la fille du maire et amante de l’architecte dans une position délicate, confrontée au choix entre sa loyauté envers son père et son amour pour quelqu’un tourné vers l’avenir.
Francis Ford Coppola a investi plus de 120 millions de dollars de sa propre poche dans ce projet ambitieux. Cela démontre son attachement profond à voir ce projet extrêmement ambitieux se concrétiser, même si cela lui coûte considérablement cher. Selon une rumeur persistante, le réalisateur aurait envisagé de vendre l’une de ses propriétés pour financer ce projet, faisant de ce film sa réalisation la plus onéreuse à ce jour. À l’affiche, on retrouvera des acteurs tels qu’Adam Driver (Star Wars), Aubrey Plaza (Scott Pilgrim, Parks and Recreation), Forest Whitaker (Good Morning, Vietnam), Laurence Fishburne (Matrix) et Shia LaBeouf (Transformers). Bien que aucune image n’ait encore été dévoilée, beaucoup anticipent que ce film sera l’un des événements les plus marquants de l’année.
Cinéma : Tom Hanks s’étonne du fait qu’on ne lui pose jamais de questions sur ce film qu’il chérit
Au sein de sa vaste filmographie, il existe un film que Tom Hanks affectionne particulièrement.
Forrest Gump, Philadelphia, Il faut sauver le soldat Ryan, Seul au monde… Tom Hanks, figure emblématique du cinéma américain, a marqué de son talent de nombreux classiques. Malgré le succès éclatant de ces films qui l’ont propulsé vers la renommée, l’acteur ressent un regret poignant : le peu d’attention accordé à son film préféré, Les Sentiers de la perdition.
« Pour je ne sais quelle raison, personne ne me parle des Sentiers de la perdition, qui a été un film incroyablement important pour moi », déplore Tom Hanks, dont le rôle le plus difficile à jouer n’est sans doute pas celui qui vous viendrait immédiatement à l’esprit. « La photo était de Conrad L. Hall, ok ? Il y avait Paul Newman au casting. Et puis il y a moi, avec une moustache et un chapeau, sans compter deux des plus grandes présences cinématographiques de l’Histoire avec Jude Law et Daniel Craig. Que je tue tous les deux ! ».
Malgré son humour persistant, on ressent chez Tom Hanks une certaine peine face au manque d’attention entourant Les Sentiers de la perdition. « Les gens disent toujours « De quels films parlera-t-on dans quelques années ? », poursuit l’acteur dans le podcast ReelBlend. « En tant que type qui regarde beaucoup la chaîne Turner Classic Movies, plus un film des années 40 et 50 est obscur et inconnu, mieux c’est, car je n’ai aucune idée préconçue à ce sujet. Je ne sais rien. »
« Quand vous regardez ce genre de films, je ressens une seule chose, que je trouve incroyablement émouvante, conclut Tom Hanks. « Je me sens tellement heureux que ce film dure éternellement et que je puisse avoir la chance de le revoir. Je pense que ça devrait être la même chose pour Les Sentiers de la perdition. »
Sorti en salles en 2002, le drame Les Sentiers de la perdition, réalisé par Sam Mendes, plonge le spectateur dans les années 30 et raconte l’histoire de Michael Sullivan (Tom Hanks), tueur professionnel au service de la mafia irlandaise. Il engage une lutte sans merci contre Connor Rooney (Daniel Craig), le fils de son patron et mentor John Rooney (Paul Newman), pour venger la mort de sa femme et de son fils cadet.
Affaire Gérard Depardieu : La raison pour laquelle François Berléand a décidé de rester discret sur cette affaire
Dans une entrevue avec le quotidien « Libération », l’acteur français François Berléand a abordé le choix de ne pas prendre position publiquement dans l’affaire Depardieu.
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Ce lundi 22 janvier 2024, le parquet de Paris a déclaré que la plainte déposée par la comédienne Hélène Darras pour des faits d’agression sexuelle (un « pelotage de fesses », précisément) vis-à-vis de Gérard Depardieu a été classée sans suite.
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Ce vendredi 19 janvier, l‘actrice deux fois oscarisée, Jodie Foster, a fait une apparition sur le plateau de « The View », délivrant des révélations surprenantes.
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La série « Game of Thrones », adaptation du genre « Heroic Fantasy » de l’œuvre de l’écrivain français Maurice Druon « Les rois maudits », elle-même version romancée d’une partie de l’Histoire de France réelle, a propulsé la carrière de nombreux acteurs, mais l’ascension rapide vers la célébrité peut avoir des conséquences dramatiques, comme cela a été le cas pour Kit Harington, star de la série HBO.
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Alec Musser, connu pour son rôle dans la série à succès «Desperate Housewives», est décédé le 12 janvier dernier, à l’âge de 50 ans.
Lire la suite Cinéma : La cause du décès d’Alec Musser, connu pour son rôle dans «Desperate Housewives», est enfin révéléeCinéma : Les séries « Succession » et « The Bear » triomphent aux Emmy Awards
La série « Succession », qui suit les querelles d’une richissime famille aux commandes d’un vaste empire médiatique, a empoché lundi pour la troisième fois le prix de la meilleure série dramatique lors de la cérémonie des Emmy Awards. Côté comédies, « The Bear : sur place ou à emporter » a raflé six récompenses.(Avec AFP).
Après quatre mois de report provoqués par les grèves à Hollywood, les Emmy Awards ont scrupuleusement suivi le script : les séries « Succession » et « The Bear », parties grandes favorites, ont toutes deux triomphé sans partage, lundi 15 janvier.
Sans aucun suspense, l’ultime saison de « Succession » a empoché pour la troisième fois le prix de la meilleure série dramatique, après ses sacres de 2020 et 2022. Elle a raflé six prix au cours de la soirée. Noire et grinçante, cette production HBO suit les querelles intestines des Roy, une richissime famille aux commandes d’un vaste empire médiatique. Ce qui n’est pas sans rappeler le pouvoir d’influence d’un certain Rupert Murdoch aux États-Unis.
« Dans notre série, c’est vrai, certaines choses sont assez proches de la vie et de la politique américaine », a reconnu le scénariste en citant le nom du magnat australien, notamment propriétaire de Fox News et du Wall Street Journal. La série traite de « la famille mais aussi du fait que (…) la couverture partisane de l’actualité s’entremêle avec une politique de droite source de divisions », a-t-il ajouté, le soir même où Donald Trump a remporté les primaires républicaines dans l’Iowa.
La distribution de la série a fait main basse sur la plupart des prix d’interprétation dramatiques : meilleur acteur pour l’effronté de la famille Kieran Culkin, meilleure actrice pour Sarah Snook, seule femme héritière des Roy, et meilleur second rôle pour son mari à l’écran, Matthew Macfadyen.
Outre le chant du cygne de « Succession », les catégories dramatiques ont honoré Jennifer Coolidge, meilleur second rôle féminin dans « The White Lotus », satire chic et grinçante sur l’hypocrisie des riches.
La révélation « The Bear »
Côté comédies, « The Bear : sur place ou à emporter » a confirmé son statut de révélation du paysage cathodique américain, avec six récompenses lundi soir. Sa première saison, qui plonge dans l’envers mouvementé des cuisines d’un restaurant de Chicago, a raflé le prix de la meilleure comédie, ainsi que ceux des meilleures réalisation et écriture.
Ses vedettes, Jeremy Allen White (meilleur acteur), Ayo Edebiri (meilleur second rôle féminin) et Ebon Moss-Bachrach (meilleur second rôle masculin), se sont également adjugées la plupart des prix d’interprétation dans les catégories comédies.
Face à ce rouleau compresseur, seule « Abbott Elementary », un faux documentaire parodique sur le manque de moyens d’une école primaire majoritairement afro-américaine de Philadelphie, a réussi à exister. Son héroïne Quinta Brunson a reçu le prix de la meilleure actrice.
Dans la catégorie très disputée des mini-séries, limitées à une saison, la production Netflix « Acharnés » a elle dominé les débats. Ce feuilleton, qui suit le jeu de massacre auquel se livrent deux automobilistes passablement énervés après un accrochage sur un parking de Los Angeles, a été élu meilleure mini-série et a permis à ses deux stars, Steven Yeun et Ali Wong, de remporter les prix d’interprétation.
Les Emmy Awards, équivalent des Oscars pour la télévision américaine se déroulent habituellement en septembre, mais les grèves des acteurs et scénaristes d’Hollywood ont bouleversé leur calendrier. L’industrie a été paralysée pendant six mois, avec des acteurs interdits de promotion pendant le mouvement social, ce qui a forcé la cérémonie à reporter sa soirée en janvier.
« Discours succincts »
Une décision qui n’a pas arrangé les organisateurs, qui tentent de contrer la baisse des audiences de cette grand-messe de la télévision américaine.
Pour leur 75e édition, les Emmys étaient malheureusement pris en sandwich entre plusieurs grandes dates de récompenses hollywoodiennes, dont les Golden Globes et l’annonce des nominations aux Oscars. Sans compter qu’en raison du report, ils récompensaient des séries dont les saisons nominées ont souvent débuté il y a dix-huit mois, une éternité dans le monde du divertissement.
Le présentateur de la soirée, Anthony Anderson, a néanmoins tenté de redresser la barre, en chargeant sa mère d’interrompre les vainqueurs trop longs dans leurs remerciements. « J’aimerais vous demander à tous de garder ces discours succincts », a plaisanté la star de la série « Black-ish », alors que les cérémonies de remise de prix américaines luttent pour séduire les plus jeunes, davantage enclins à regarder un résumé des meilleurs moments après coup sur les réseaux sociaux.
En 2022, les Emmy Awards avaient été suivis par seulement 5,9 millions de téléspectateurs. Soit encore moins que l’édition de 2020, surnommée « PandEmmys », quand les stars étaient restées chez elles pour cause de confinement.