Archives du mot-clé donald trump

Mondial 2026 : pourquoi les supporters ivoiriens et sénégalais risquent d’être privés de matchs aux États‑Unis

La Coupe du monde 2026, co‑organisée par les États‑Unis, le Canada et le Mexique, s’annonce déjà sous tension pour les supporters ivoiriens et sénégalais. Alors que les équipes nationales se préparent à disputer leurs matchs de phase de groupes, de nombreux fans pourraient se voir refuser l’accès aux rencontres se jouant sur le sol américain.

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Trump annonce un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela

Donald Trump a annoncé mardi un « blocus total » contre les pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela, renforçant la pression économique sur Caracas en pleine crise entre les deux pays.(Source : AFP).

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États-Unis : Les démocrates remportent la mairie de Miami, une première depuis 28 ans

Dans un tournant historique pour la ville de Miami, la démocrate Eileen Higgins est devenue mardi soir la première femme maire de la ville, mettant fin à 28 ans de domination républicaine. Higgins a remporté une victoire nette face au candidat républicain Emilio T. Gonzalez, soutenu par le président Donald Trump, avec environ 60 % des suffrages, selon les prévisions de CNN et du Miami Herald.

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Présidentielle au Honduras : Salvador Nasralla dénonce un « vol » du scrutin au profit de Nasry Asfura soutenu par Donald Trump

La tension politique s’intensifie au Honduras alors que le décompte des voix de l’élection présidentielle du 30 novembre crée une crise de confiance entre candidats, institutions et observateurs internationaux. Le candidat libéral Salvador Nasralla a dénoncé lundi un « vol » électoral destiné à favoriser son rival conservateur Nasry Asfura, soutenu par le président américain Donald Trump.

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Guerre en Ukraine : Zelensky réaffirme son refus de céder des territoires et reçoit un soutien renforcé des Européens

Un front européen soudé autour de Kiev

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Trump insulte la Somalie : la réponse diplomatique du Premier ministre somalien

Lors d’une réunion du cabinet à la Maison-Blanche, Donald Trump a tenu des propos très sévères à l’égard de la Somalie et des immigrants somaliens.

S’exprimant sur un scandale dans le Minnesota lié à de faux versements à des services sociaux, l’ancien président a déclaré :

« Leur pays ne vaut rien […]. Leur pays est pourri, et nous ne voulons pas d’eux chez nous. »
Il a ajouté : « Nous sommes à un point de bascule […]. On peut aller dans un sens ou dans l’autre, et nous irons dans le mauvais sens si nous continuons à accueillir des déchets dans notre pays. »

Ces déclarations qualifiant des Somaliens d’« ordure » et insinuant que leur pays d’origine sent mauvais ont été perçues comme une attaque xénophobe, ciblant non seulement la diaspora somalienne, mais aussi la Somalie elle-même.

La réaction somalienne

En Somalie, les réactions ont été rapides. Le Premier ministre Hamza Abdi Barre a choisi une approche diplomatique, invitant à ignorer l’insulte afin de ne pas lui donner plus de poids. Il a rappelé que Donald Trump avait déjà tenu des propos similaires à l’égard de pays comme le Nigeria ou l’Afrique du Sud :

« Parfois, il y a des choses qu’il vaut mieux laisser passer », a-t-il expliqué. « En faire un problème… est plus difficile que de l’ignorer. »

Cette approche vise à éviter une escalade diplomatique tout en protégeant la réputation et les relations internationales de la Somalie.

Une rhétorique qui inquiète

Les propos de Trump soulèvent des préoccupations sur les conséquences d’une rhétorique déshumanisante. En qualifiant des êtres humains d’« ordure », l’ancien président affaiblit les normes de respect international et peut encourager la radicalisation.

La situation est aggravée par la fin du statut de protection temporaire (TPS) pour les Somaliens du Minnesota, qui expose cette communauté à la peur, à des expulsions et à une vulnérabilité juridique accrue.

Si la modération de Hamza Abdi Barre vise à prévenir une crise diplomatique, certains militants avertissent que le silence prolongé peut normaliser la xénophobie et la discrimination, envoyant un message dangereux selon lequel l’origine ethnique, la nationalité ou le statut de réfugié pourraient devenir des prétextes à des violences symboliques ou physiques.

Le président vénézuélien rejette une “paix des esclaves” imposée sous la menace des États-Unis

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a fermement rejeté lundi ce qu’il a qualifié de “paix des esclaves”, soulignant que son pays ne céderait pas face à la pression américaine. S’adressant à ses partisans, M. Maduro a insisté sur le fait que le Venezuela souhaite la paix, mais “une paix avec la souveraineté, une paix avec l’égalité, une paix avec la liberté”, et non une paix imposée par la contrainte extérieure.

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Guerre à Gaza : Israël annonce une ouverture prochaine du passage de Rafah vers l’Égypte pour les habitants

Israël a annoncé ce mercredi 3 décembre que des habitants de la bande de Gaza pourraient être autorisés à quitter le territoire vers l’Égypte « dans les prochains jours ». Cette mesure, très attendue par la communauté internationale, s’inscrit dans les dispositions du plan de paix américain pour Gaza porté par le président Donald Trump.

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Ukraine : la BCE refuse de garantir le prêt de 140 milliards d’euros financé par les avoirs russes gelés, alors que Trump annonce la fin du soutien financier américain

À l’approche d’un sommet européen décisif prévu le 18 décembre à Bruxelles, la question du financement de l’aide à l’Ukraine continue de diviser les États membres et les institutions européennes. Dans un contexte international marqué par le repositionnement américain après la récente déclaration de Donald Trump affirmant que les États-Unis « ne sont plus engagés dans le soutien financier à l’Ukraine », l’Union européenne se retrouve sous pression pour assurer seule une partie croissante de l’aide à Kiev.

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Guerre en Ukraine : ce qu’il faut retenir des prises de parole d’Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky à Paris

La crise ukrainienne a de nouveau occupé le devant de la scène diplomatique internationale ce lundi, alors que Volodymyr Zelensky était reçu à l’Élysée par Emmanuel Macron. Depuis le début de l’invasion russe en février 2022, il s’agit de la dixième visite du président ukrainien en France. Ce déplacement intervient dans un contexte diplomatique intense : discussions américano-ukrainiennes en Floride la veille, et rencontre prévue à Moscou entre l’émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, et Vladimir Putin.

À l’issue de leur entretien et d’échanges en visioconférence avec des dirigeants européens et les négociateurs présents aux États-Unis, Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont livré plusieurs messages clés. Voici les principaux points à retenir.

La poursuite des frappes russes : « une insulte au droit »

Emmanuel Macron a insisté d’emblée sur la gravité du moment, parlant d’un « moment décisif » dans la quête d’une issue pacifique. Le président français a fermement condamné les frappes russes les plus récentes, qui ont touché Kiev et provoqué des victimes civiles à Dnipro.

Selon lui, en poursuivant ces attaques, « la Russie signe et aggrave un peu chaque jour le forfait de son agression ». Il qualifie ces actions « d’insulte au droit » et « d’obstacle à la paix ».

Un plan de paix encore inexistant

Malgré les discussions qui se multiplient, Emmanuel Macron a rappelé qu’« il n’y a pas aujourd’hui de plan de paix finalisé ». Les États-Unis jouent actuellement le rôle de médiateur, un engagement salué par le président français, qui considère que Donald Trump et son administration « veulent la paix ».

Cependant, Macron insiste : chaque acteur doit respecter ses compétences. « L’Ukraine est la seule qui peut discuter de territoires », rappelle-t-il. Une position confirmée par Zelensky, pour qui « les pourparlers se poursuivent » sur ce dossier considéré comme le plus sensible.

Certaines thématiques, en revanche, nécessitent une négociation à l’échelle européenne, comme les garanties de sécurité. Ce volet serait en voie d’être finalisé. Sur la question du gel des avoirs russes, Macron affirme : « nous trouverons une option », espérant un accord avant Noël.

« Il faut terminer cette guerre de manière digne »

Volodymyr Zelensky a réaffirmé sa volonté de parvenir à un plan de paix solide et crédible. « Nous essayons de terminer cette guerre de toutes nos forces », a-t-il déclaré, tout en soulignant que l’issue dépendra largement de Vladimir Putin.

Pour lui, la préservation de la souveraineté ukrainienne demeure « un point capital », surtout face à une Russie qui « a tant de fois violé ses promesses ». Il insiste sur la nécessité de « garanties solides » et rappelle que « l’agresseur doit payer pour son forfait ».

Sur le terrain : une progression russe et des combats intenses

Questionné sur la situation militaire, Zelensky reconnaît que « évidemment, il y a une avancée de l’armée russe ». Les combats sont « très rudes », mais le président ukrainien souligne que la Russie a connu en octobre « ses plus lourdes pertes en quatre ans de guerre ».

Il mentionne aussi une intensification des frappes de missiles et de drones russes, visant des zones résidentielles et des infrastructures essentielles, ce qui crée une pression « psychologique et physique » sur la population civile.

Un scandale de corruption en pleine séquence diplomatique

La rencontre intervient alors que l’Ukraine est secouée par un scandale de corruption ayant entraîné le départ d’Andriï Iermak, chef de cabinet du président. Zelensky admet que cette affaire tombe « à un mauvais moment » et qu’elle pèse sur le processus de négociation.

Emmanuel Macron, lui, affirme que la France n’a « pas de leçons à donner ». Il considère que « la lutte contre la corruption fonctionne » en Ukraine.

Zelensky refuse pour l’heure de dévoiler le nom du successeur d’Iermak, indiquant seulement que le futur chef de cabinet sera choisi selon des critères de compétence, de gestion et avec un « accent particulier sur la diplomatie ».

Un déplacement en Irlande pour poursuivre la mobilisation internationale

Après une soirée consacrée à des initiatives culturelles à Paris, Volodymyr Zelensky se rendra en Irlande mardi. Ce sera sa première visite officielle dans ce pays membre de l’Union européenne mais militairement neutre, preuve que Kiev continue d’étendre son action diplomatique malgré un contexte militaire difficile.