Archives du mot-clé vladimir poutine

Guerre en Ukraine : Xi Jinping rejette les demandes de pression sur Moscou formulées par Emmanuel Macron

En visite d’État en Chine, le président français Emmanuel Macron a exhorté jeudi son homologue chinois Xi Jinping à utiliser son influence pour favoriser une issue au conflit en Ukraine et corriger les déséquilibres commerciaux. Mais le dirigeant chinois a opposé une fin de non-recevoir ferme, refusant toute mise en cause du rôle de Pékin dans la poursuite de la guerre.

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Pourquoi l’Inde se tourne vers la Russie pour un sous-marin nucléaire malgré ses commandes à la France

À l’occasion de la visite de Vladimir Poutine à New Delhi, l’Inde et la Russie s’apprêtent à officialiser un accord majeur dans le domaine de la défense : la location d’un sous-marin nucléaire d’attaque russe. Selon Bloomberg, l’annonce devrait intervenir lors des discussions entre le président russe et le Premier ministre indien Narendra Modi, centrées sur la défense, l’énergie et le commerce.

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Guerre en Ukraine : L’OTAN pourrait envisager des frappes préventives contre Moscou,attentat à la voiture piégée à Moscou, les États-Unis négocient,accord pour interdire toutes les importations de gaz russe – le point ce 3 décembre

Les relations entre l’OTAN, la Russie et les États occidentaux ont connu ces derniers jours une nouvelle intensification, marquée par une mise en garde inédite de l’OTAN, un attentat présumé à Moscou contre un expert en armement stratégique, une rencontre russo-américaine qualifiée de « constructive » malgré l’absence de compromis, et un accord décisif de l’Union européenne pour couper définitivement ses importations de gaz russe d’ici 2027.

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Russie : le Kremlin dément les rumeurs d’éviction de Sergueï Lavrov, disparu de la scène publique depuis fin octobre

Le Kremlin tente de mettre fin aux spéculations. Alors que le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, figure emblématique de la diplomatie russe depuis plus de vingt ans, n’est plus apparu publiquement depuis la fin octobre, des rumeurs d’éviction ou de disgrâce agitent la sphère politique russe et internationale.

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L’Ukraine obtient le statut de “partenaire renforcé” au sein de la Force expéditionnaire interarmées menée par le Royaume-Uni

L’Ukraine a franchi une nouvelle étape dans sa coopération militaire avec les pays européens du Nord. Mercredi 5 novembre, à l’issue d’une rencontre en Norvège entre les ministres de la Défense des pays membres de la Force expéditionnaire interarmées (JEF) et leur homologue ukrainien, Kyiv s’est vu accorder le statut de “partenaire renforcé” de cette coalition.

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Guerre en Ukraine : Melania Trump affirme avoir établi un « canal de communications » avec Vladimir Poutine sur les enfants ukrainiens

Dans une déclaration inattendue à la Maison-Blanche, Melania Trump a annoncé vendredi avoir ouvert un « canal de communications » avec le président russe Vladimir Poutine concernant les enfants ukrainiens que Kiev accuse Moscou d’avoir enlevés depuis le début de l’invasion russe en février 2022.

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Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine se dit prêt à négocier malgré des divergences profondes

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que Moscou était disposé à entamer un nouveau cycle de négociations directes avec l’Ukraine, bien que les positions des deux pays restent profondément opposées. Selon lui, les propositions russes et ukrainiennes contenues dans leurs mémorandums respectifs sont « diamétralement opposées ». Néanmoins, il a confirmé l’existence de contacts « permanents » entre les équipes de négociateurs, en vue de préparer un éventuel troisième round de pourparlers.

S’exprimant depuis Minsk, le chef du Kremlin a précisé que les responsables russes et ukrainiens discutaient actuellement de la date d’une possible rencontre. Poutine a aussi indiqué que les conditions d’un cessez-le-feu jusqu’ici rejeté par Moscou devraient faire partie des sujets abordés.

Malgré ces déclarations, la situation sur le terrain ne montre aucun signe de désescalade. La guerre, qui entre dans sa quatrième année, est marquée par des échanges continus de frappes de drones à longue portée. Les deux précédents cycles de négociations entre Moscou et Kyiv, organisés à Istanbul, ont été brefs et sans issue concrète.

Le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Oumerov, a affirmé que l’Ukraine souhaitait que la prochaine étape des négociations soit une rencontre entre les présidents Zelensky et Poutine. Cependant, cette éventualité semble peu probable à court terme. Le président russe a souligné qu’un sommet ne serait envisageable que si les principales dispositions d’un accord de paix avaient d’abord été entérinées, ce qui, selon lui, pourrait prendre des mois, voire des années.

Par ailleurs, M. Poutine a réitéré sa position selon laquelle Volodymyr Zelensky aurait perdu sa légitimité présidentielle après l’expiration de son mandat en 2024 une affirmation que Kyiv et ses alliés occidentaux rejettent catégoriquement.

Intensification des attaques de drones

Sur le plan militaire, la nuit de jeudi à vendredi a été marquée par une intensification des attaques de drones. L’armée de l’air ukrainienne a déclaré que la Russie avait lancé 363 drones de type Shahed et huit missiles contre plusieurs régions d’Ukraine. Selon cette même source, la défense aérienne ukrainienne aurait intercepté tous les drones sauf quatre, et abattu six missiles de croisière.

De son côté, le ministère russe de la Défense a affirmé avoir abattu 39 drones ukrainiens dans différentes régions, dont 19 dans celle de Rostov et 13 dans celle de Volgograd, à l’est de l’Ukraine. Ces frappes illustrent la centralité des drones dans le conflit, où chaque camp rivalise de technologies pour gagner un avantage stratégique.

Début juin, une opération ukrainienne secrète utilisant des drones bon marché aurait permis de détruire ou d’endommager une partie significative de la flotte de bombardiers stratégiques russes, selon des sources ukrainiennes.

Situation à Sumy : l’Ukraine affirme avoir contenu les forces russes

Sur le front nord-est, le général Oleksandr Syrsky, commandant en chef des forces armées ukrainiennes, a annoncé jeudi que l’armée ukrainienne avait stoppé l’avancée russe dans la région de Sumy, près de la frontière russe. Il a indiqué que cette manœuvre avait empêché Moscou de redéployer environ 50 000 soldats, dont des unités aéroportées et maritimes, vers d’autres axes offensifs.

Selon Kyiv, face à l’augmentation des attaques combinées de missiles et de drones, l’armée ukrainienne aurait adopté de nouvelles contre-mesures, notamment l’emploi de drones intercepteurs développés localement pour neutraliser les engins russes. Moscou n’a pas commenté ces affirmations.

Les combats dans la région de Sumy avaient auparavant causé des pertes civiles et des destructions importantes. Les forces ukrainiennes, en infériorité numérique, affirment utiliser des drones pour freiner la progression ennemie.

Négociations au point mort

Malgré les efforts internationaux, notamment ceux des États-Unis, les tentatives de médiation n’ont jusqu’ici abouti à aucun accord de cessez-le-feu. Les négociations se poursuivent, mais leurs avancées restent limitées, à l’exception de quelques échanges de prisonniers de guerre entre les deux camps.

Dans ce contexte tendu, la perspective de nouvelles négociations directes suscite à la fois espoir et scepticisme, alors que les combats se poursuivent sur l’ensemble de la ligne de front.

Visé par un mandat d’arrêt de la CPI, Poutine sera absent du sommet des Brics au Brésil

Visé par la justice internationale pour des soupçons de déportation illégale d’enfants ukrainiens, Vladimir Poutine ne participera pas au sommet des BRICS prévu début juillet au Brésil, a annoncé le Kremlin mercredi. En tant que membre de la Cour pénale internationale (CPI), le Brésil aurait été légalement tenu d’arrêter le président russe s’il avait fait le déplacement.(Source : AFP).

Vladimir Poutine fait l’impasse sur un rendez-vous diplomatique majeur. Visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI), le président russe ne se rendra pas au sommet des Brics organisé début juillet au Brésil, a annoncé mercredi 25 juin le Kremlin, précisant que son chef de la diplomatie, lui, y serait.

« Le président participera par vidéoconférence, mais le ministre des Affaires étrangères [Sergueï Lavrov, NDLR] sera présent au Brésil », a déclaré le conseiller diplomatique du président russe, Iouri Ouchakov, ajoutant : « Cela est dû à certaines difficultés dans le contexte des demandes de la CPI. »

Le président brésilien Lula avait affirmé que son homologue russe Vladimir Poutine serait « invité » en tant que membre fondateur, bien qu’il soit visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) pour des suspicions de déportation illégale d’enfants ukrainiens vers la Russie – ce que Moscou nie.

Vladimir Poutine salue régulièrement les Brics, un groupe formé de dix pays émergents, en le présentant comme un contrepoids à l’hégémonie des Occidentaux sur la scène internationale.

Reçu en grande pompe en Mongolie

Le prochain sommet, qui rassemblera Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, Égypte, Éthiopie, Indonésie, Iran et Émirats arabes unis, se tiendra les 6 et 7 juillet à Rio de Janeiro.

Visé par un mandat d’arrêt de la CPI, Vladimir Poutine est limité dans ses déplacements à l’étranger.

Membre de la Cour pénale internationale, le Brésil se serait retrouvé, en cas de venue du président russe, dans l’obligation de l’arrêter.

Vladimir Poutine n’avait cependant pas été arrêté début septembre en Mongolie, un État membre de la Cour pénale internationale, où il avait été reçu en grande pompe. Oulan-Bator avait ainsi été critiqué par la Cour et l’Union européenne, notamment.

En octobre dernier, le sommet des Brics s’était déroulé en Russie, à Kazan. En revanche, le président russe avait renoncé à participer à celui tenu en Afrique du Sud en août 2023.

Guerre en Ukraine : Moscou relance l’option diplomatique tandis que Kiev intensifie ses frappes de drones

Moscou tente une nouvelle approche diplomatique, pendant que Kiev multiplie ses attaques de drones. De son côté, l’Union européenne consolide sa défense en mer Noire.

Un deuxième round de négociations proposé à Istanbul

Ce mercredi, le Kremlin a annoncé avoir invité la délégation ukrainienne à une deuxième séance de pourparlers directs, qui se tiendrait à Istanbul, le lundi 2 juin. Cette rencontre a pour objectif de présenter un « mémorandum » contenant les conditions russes pour un accord de paix durable.

« Notre délégation […] est prête à présenter ce mémorandum à la délégation ukrainienne et à fournir les explications nécessaires lors d’un deuxième cycle de négociations directes », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.

Comme lors de la première réunion du 16 mai, la délégation russe sera conduite par Vladimir Medinski, ex-ministre de la Culture et écrivain aux positions nationalistes. Pour l’instant, Kiev n’a pas officiellement répondu à cette invitation.

Le Kremlin a aussi rejeté la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky d’organiser un sommet « tripartite » avec Vladimir Poutine et Donald Trump, écartant toute médiation occidentale directe dans ce processus.

Des attaques de drones ukrainiens d’une ampleur inédite

La diplomatie ne freine en rien les opérations militaires. Dans la nuit de mardi à mercredi, la Russie a affirmé avoir abattu 296 drones ukrainiens, une des attaques les plus massives depuis le début de la guerre. Parmi ces engins, 39 drones visaient Moscou.

Le maire de la capitale a indiqué que la défense antiaérienne a été largement mobilisée, mais plusieurs drones ont échappé aux interceptions. Dans la banlieue sud de Moscou, trois maisons ont été détruites selon le gouverneur régional. Le trafic de plusieurs aéroports a également été perturbé.

Menace d’une offensive russe dans le nord-est

Sur le front terrestre, la tension monte dans la région de Soumy, au nord-est de l’Ukraine. Le président Zelensky a accusé Moscou d’y rassembler des troupes en vue d’une possible offensive. La Russie affirme vouloir créer dans cette région frontalière une « zone tampon », destinée à empêcher les incursions ukrainiennes sur son territoire.

Cette stratégie fait écho à d’anciennes déclarations du Kremlin, qui évoque régulièrement la nécessité de sécuriser ses frontières face aux frappes ukrainiennes.

L’Union européenne muscle sa présence en mer Noire

Face à l’instabilité persistante, l’Union européenne intensifie sa stratégie de dissuasion. Ce mercredi, Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne, a annoncé la mise en place d’un hub de sécurité maritime en mer Noire.

« Ce centre constituera le système d’alerte précoce de l’Europe en mer Noire », a-t-elle précisé.

Ce dispositif vise à améliorer la détection des menaces, à protéger les infrastructures stratégiques (comme les câbles sous-marins et installations offshore), mais aussi à sécuriser la navigation maritime.

L’initiative complète les efforts de l’Ukraine, qui a réussi à établir un corridor sécurisé pour l’exportation de ses céréales, essentielles à son économie. Mais la Russie reste une menace constante, notamment avec sa « flotte fantôme », ces navires-pétroliers qui contournent les sanctions internationales. La coopération avec l’OTAN est également prévue dans ce dispositif.

Conclusion : entre diplomatie et intensification du conflit

Alors que la Russie tente de réactiver la voie diplomatique avec un nouveau cycle de négociations à Istanbul, la réalité du terrain reste dominée par la violence. L’Ukraine répond par des frappes de grande envergure, tandis que la Russie prépare de nouvelles offensives stratégiques. L’Union européenne, de son côté, se prépare à une guerre longue en renforçant ses capacités de défense.

Guerre en Ukraine : Zelensky « propose » une rencontre trilatérale avec Trump et Putin pour relancer la paix – une offre de pure propagande

Face à l’enlisement du conflit russo-ukrainien, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a « proposé » une rencontre au sommet réunissant Donald Trump, président des États-Unis d’Amérique, et Vladimir Putin,, président de la Fédération de Russie. Un propos dont l’unique but est de soigner sa propagande en soulignant, après, que Putin refuse d’y participer et veut donc la paix, alors que Zelensky sait pertinemment que son ennemi Russe ne peut pratiquement plus se déplacer, puisque, même en territoire russe, il a évité de justesse à un attentat, dans son hélicoptère, il y a quelques jours.

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