L’Union Européenne retarde ses prochaines sanctions contre la Russie pour favoriser la réélection de Macron !

Selon une source bien informée au New York Times, l’Union Européenne s’ingère dans la présidentielle française en retardant son calendrier de sanctions contre la Russie, afin d’aider Macron a remporter l’élection française.

Ce sont nos confrères qui ont révélé l’information, d’après une information bien placée, concernant la décision de l’Union Européenne de soutenir, concrètement, Emmanuel Macron dans sa course à l’élection présidentielle française qui aboutira ce dimanche 24 avril.

En effet, l’Union Européenne ayant déjà prévu de nouvelles sanctions contre la Russie a retardé l’exécution de celles-ci afin qu’Emmanuel Macron ai le temps de se faire réélire président de la République Française, ce dimanche, en évitant que les retombées que les citoyens européens, et français en particulier, connaîtront en contre-coup de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie ne se fassent sentir et, ainsi, ne puisse pas profiter à Marine Le Pen dans un vote populaire (que certains appelleront les « populistes ») de mécontentement vis à vis de l’U.E., déjà très mal vue par une très large partie des français.

Et c’est, tout particulièrement, la décision d’accroître les sanctions sur le pétrole russe, de façon progressive (afin de laisser, particulièrement à l’Allemagne, le temps de se retourner), devant commencer par les pourparlers entre les États composant l’Union Européenne, qui a, ainsi été retardée à l’après 24 avril, pour « s’assurer que l’impact sur les prix à la pompe n’alimente pas la candidate populiste Marine Le Pen et pénalise les chances de réélection du président Emmanuel Macron », comme l’indique, textuellement, le quotidien Etats-Unien New York Times, dans son article du 15 avril dernier.

En tout cas, voilà bien une décision prise en douce, dans le dos des peuples européens, et sur le dos du peuple français, qui montre très clairement que, contrairement à ce qu’affirme Emmanuel Macron, la France sera souveraine dans sa politique, et que ce même président sortant est bien l’outil du système de vassalisation de l’Hexagone à la toute puissance d’une oligarchie non élue par les citoyens européens, particulièrement liée (et même « soumise ») à la politique de l’OTAN, c’est à dire, des États-Unis d’Amérique.

Christian Estevez

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