Washington a rapporté que le Hamas exprime des inquiétudes concernant les otages femmes témoignant des agressions sexuelles qu’elles ont subies. Le groupe terroriste a saboté la prolongation de la trêve à Gaza car il souhaite éviter que les femmes victimes de viols divulguent leur expérience de détention.
Un responsable états-unien a affirmé, lundi dernier, que la reconduite de la trêve à Gaza a échoué parce que le Hamas, soupçonné de viols contre des femmes otages et de violences sexuelles pendant son assaut début octobre, ne veut pas qu’elles en témoignent.
Israël avait arrêté son offensive à Gaza dans le cadre d’un accord négocié sous l’égide du Qatar et des États-Unis d’Amérique, prévoyant de libérer des otages enlevés par le Hamas lors de sa meurtrière attaque sur le sol israélien le 7 octobre dernier. Les autorités israéliennes ont déclaré, vendredi 1er décembre, qu’elles reprenaient leur offensive militaire car le Hamas n’avait pas libéré toutes les femmes otages.
«Il semble que l’une des raisons pour lesquelles ils ne veulent pas libérer des femmes qu’ils retiennent en otage et que cette pause a volé en éclats, c’est qu’ils ne veulent pas que ces femmes racontent ce qui leur est arrivé pendant leur détention», a déclaré à la presse Matthew Miller, porte-parole du département d’État des Etats-Unis d’Amérique.
La police israélienne a affirmé enquêter sur de possibles violences sexuelles commises le 7 octobre par des combattants du Hamas, dont des viols en réunion ou des mutilations de cadavres. Les enquêteurs israéliens ont jusqu’ici recueilli «plus de 1 500 témoignages choquants et pénibles», a déclaré une policière la semaine dernière au Parlement israélien, évoquant «des filles déshabillées au-dessus et au-dessous de la taille» et rapportant le témoignage du viol collectif, de la mutilation et du meurtre d’une jeune femme.
Le Hamas a «rejeté» ces accusations, les qualifiant de «mensonges». Le porte-parole états-unien s’est refusé à davantage de précision en mettant en avant le caractère « sensible » de la question, mais a déclaré que les États-Unis d’Amérique n’avaient «aucune raison de douter» des informations sur des violences sexuelles imputées au Hamas. «Il y a très peu de choses dont je pense que le Hamas ne soit pas capable s’agissant du traitement des civils et en particulier du traitement des femmes», a-t-il dit.
240 personnes ont été enlevées et emmenées dans la bande de Gaza, dont 137 sont toujours retenues en otage, selon l’armée israélienne. Le 7 octobre, des commandos du Hamas ont tué, torturé, brûlé vifs, en Israël, 1 200 personnes, en majorité des civils, selon les autorités israéliennes.
P.S.: parce qu’un trop grand nombre de personnes se font l’écho de la propagande du Hamas, en affirmant que toutes les descriptions des actes innommables perpétués par l’organisation terroriste islamiste sont fausses, nous avons décidé de mettre partager, dans le présent article, la vidéo que nous avions vu dans les heures qui avaient suivi les actes du 7 octobre dernier, et que nous avions juste décrits dans notre article, concernant Shari Louk, la jeune fille germano-israélienne qui avait été violée, « démembrée » et exposée à l’arrière d’un « pick up » du Hamas, entièrement nue, dans la bande de Gaza, par les terroristes du Hamas, comme trophée.
Christian Estevez & Joseph Kouamé
ATTENTION!!!!
Les images de la vidéo ci-dessous, peuvent fortement choquer. Si vous pensez être de ces personnes, ne les visionnez pas. Tout visionnage ne se faisant qu’à partir de l’action de qui la mets en lecture, La boussole – infos ne sera pas responsable du choc émotionnel provoqué, ayant prévenu de la violence visible dans ladite vidéo.