Le gouvernement de gauche espagnol a annoncé, ce jeudi 7 mars, une aide supplémentaire de 20 millions d’euros pour l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), afin de faire face à la situation humanitaire dramatique dans la bande de Gaza.
Cette aide intervient malgré les révélations qui s’accumulent confirmant que plusieurs centaines de membre de l’UNRWA sont directement impliqués dans les massacres de l’organisation terroriste Hamas, le 7 octobre dernier, et de l’endoctrinement, dans les écoles dirigées par cet organisme, des enfants dans la haine antisémite jusqu’à les pousser au « martyr » en mourant en tuant des juifs.
Le gouvernent espagnol, allant du parti socialiste à l’extrême gauche afin de permettre, pour la seconde fois de suite, d’être élu premier ministre en finissant deuxième des élections législatives, n’ayant pas hésité à pactiser avec l’organisation terroriste basque ETA, va apporter une nouvelle aide de 20 millions d’euros à l’UNRWA L’annonce a été faite par le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, lors d’une conférence de presse conjointe avec le patron de cette agence onusienne, Philippe Lazzarini.
M. Lazzarini a espéré que la décision du gouvernement espagnol inciterait certains des pays ayant récemment suspendu leur aide à son agence à la reprendre. Il a indiqué que cette suspension concernait 16 pays et représentait 450 millions de dollars (environ 410 millions d’euros). Il a surtout appelé avec force à une ouverture des points de passage terrestres vers la bande de Gaza afin que l’aide humanitaire puisse être acheminée par la route, les opérations de largage aérien ayant une efficacité limité.
Les Etats-Unis D’Amérique et la Jordanie ont effectué, ce même jeudi 7 mars, un troisième largage aérien d’aide à Gaza en une semaine et le président états-unien, Joe Biden, doit annoncer, dans la soirée, devant le Congrès, qu’il a ordonné à l’armée des EUA d’établir un port à Gaza, afin d’acheminer de l’aide par la mer.
« La seule réponse » à la crise humanitaire que traverse actuellement la bande de Gaza consiste à « ouvrir les points de passage », a déclaré le patron de l’UNRWA. Revenant sur la distribution d’aide dans la ville de Gaza qui avait résulté le 29 février dans la mort de plus d’une centaine de Palestiniens lorsque des soldats israéliens avaient tiré sur la foule et provoqué une bousculade, M. Lazzarini a estimé qu’il s’agissait de « la conséquence du siège serré » imposé à la bande de Gaza. Le seul moyen d’éviter la répétition de nouvelles tragédies est d’ »inonder » la bande de Gaza avec de l’aide humanitaire, a-t-il dit.
Les 20 millions d’euros annoncés par M. Albares font suite à une première aide supplémentaire de 3,5 millions d’euros décidée la semaine dernière et parviendront à l’Agence « dans quatre à six semaines », a assuré le ministre. Il s’est également félicité du fait que l’UE ait décidé la semaine dernière de débloquer une aide de 50 millions d’euros à l’UNRWA. Il a également qualifié de « goutte d’eau dans la mer » l’aide larguée par air.
Sur le plan politique, M. Albares, dont le pays est l’un des plus fermes soutiens aux Palestiniens – au point d’avoir provoqué une crise diplomatique avec Israël en novembre dernier – a de nouveau « exigé » un « cessez-le-feu immédiat et permanente ». Il faut dire que les déclarations du premier ministre, Pedro Sanchez, ont été tellement en faveur du Hamas que cette organisation terroriste qui a, le 7 octobre 2023, perpétué le massacre le plus atroce, inhumain de toute l’Histoire de l’Humanité depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l’a même félicité et remercié pour lesdits propos.
Le conflit à Gaza a été déclenchée le 7 octobre dernier par une attaque de commandos du mouvement terroriste palestinien Hamas dans le Sud d’Israël, qui ont massacré (violant femmes, très jeunes filles pas toutes adolescentes et hommes – le plus souvent en bande, tout en les torturant, démembrant et même les décapitant et allant jusqu’à cuire un nourrisson dans un four tandis qu’ils voilaient, par deux fois chacun, la mère, avec pratique de torture, avant de l’achever), au moins 1.160 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.
En représailles, Israël a lancé une offensive militaire pour anéantir le Hamas, qu’il considère comme une organisation terroriste, à l’instar des Etats-Unis d’Amérique et de l’UE. L’offensive israélienne aurait fait au moins 30.800 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon le dernier bilan du « ministère de la Santé » du Hamas – chiffre qui ne peut donc être validé car forcément gonflé pour la propagande et qui se garde bien de reconnaître qu’il utilise les civils palestiniens comme boucliers humains.
L’attitude du gouvernement espagnol est clairement antisémite et ce d’autant que, depuis plusieurs semaines, une quantité phénoménale et toujours croissante de documents attestent que, non seulement, plusieurs centaines de membre de l’UNRWA font partie du Hamas – dont certains ayant participés aux massacres du 7 octobre 2023, mais, également, que dans les écoles que gèrent cet organisme de l’ONU, est enseigner, principalement, la haine envers les juifs, poussant les enfants qui y sont comme « élèves » à glorifier le statut de « martyr » et à obtenir celui-ci an allant mourir dans le cadre d’assassinats et attentats contre tous les juifs.
Joseph Kouamé & Christian Estevez