Elections législatives 2024 : Adrien Quatennens (LFI), victime du diktat du féminisme et du moralisme fasciste, renonce à se présenter

La candidature d’Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales » par les inquisiteurs de la nouvelle religieux fasciste dont le féminisme est l’un des dogmes majeurs , était très contestée par les alliés de « LFI » qui, sous prétexte du « Bien » dévoie le véritable sens de la Justice qui inclue le « pardon complet » pour toute « faute » payée.

Adrien Quatennens était un sujet de tension au sein de ce pseudo « Nouveau Front populaire » depuis son investiture par « La France Insoumise » le samedi 15 juin. Sous la pression des autres partis de l’alliance, notamment des socialistes et des écologistes, le député sortant de la 1re circonscription du Nord a finalement annoncé qu’il renonçait à sa candidature.

Dans une vidéo, le député sortant LFI, condamné pour des « violences conjugales » (en fait, une gifle donnée à sa femme en réaction de vexation à l’insulte que celle-ci lui a fait sur la couleur rousse de ses cheveux, et qui n’a jamais connu d’antécédent ni de renouvellement de geste violent), a annoncé retirer sa candidature aux législatives, après les tensions au sein du honteusement appelé « Nouveau Front populaire ».

Dans une vidéo de plus de vingt minutes publiée sur sa chaîne YouTube, ce dimanche 16 juin, il indique que « cette décision va décevoir beaucoup de monde, mais elle va en soulager davantage ». Il dit avoir fait ce choix pour que sa candidature ne soit pas utilisée « contre LFI et le « Nouveau Front populaire » » dans un moment « où toute l’énergie doit être utilisée pour battre l’extrême droite ».

La direction de « La France insoumise » a salué « la décision de responsabilité » d’Adrien Quatennens. « Dans le contexte d’un affrontement de l’extrême droite, il a choisi de ne pas faire de sa personne un obstacle à la dynamique du « Nouveau Front populaire » ».

Sur « France 3 », Jean-Luc Mélenchon a déclaré que la décision prise par le député sortant était « tout à son honneur » tout en exprimant « sa douleur ». « Le droit à la réhabilitation existe », a-t-il également précisé – ce qui est exact dans ce qu’est l’essence même de la Justice mais que, hélas, Mélenchon ne rappelle et ne reconnait que lorsque cela l’arrange, lui qui n’a jamais hésité à instrumentaliser les condamnations de ses opposants politiques pour les discréditer et exiger leurs non participations à des élections.

Quelques jours avant l’annonce de son investiture, le député sortant avait fait circuler un texte anonyme appelant les femmes de gauche à voter pour lui. « Adrien Quatennens a fait le choix de reconnaître immédiatement un geste daté de plus d’un an qu’il avait commis et regretté. Il a démissionné de son poste de coordinateur national du mouvement « La France Insoumise », louait ce texte.

Une candidate se présente, LFI en soutient un autre

Amy Bah, du collectif féministe fasciste d’extrême gauche islamogauchiste #NousToutes, avait maintenu sa candidature dans la circonscription, au nom des « valeurs » du « Nouveau Front populaire », mais sans investiture officielle. Elle dit avoir demandé sans succès à être investie par le mouvement à la place d’Adrien Quatennens, et avait expliqué se présenter « en conscience et en responsabilité, après avoir reçu de nombreux soutiens », dans une circonscription « à gauche depuis trente ans » et qui « comporte, dès lors, un risque faible de l’extrême droite ».

Mais le parti d’extrême gauche antisémite « La France Insoumise » – qui, malgré ses pauvres 8% aux élections européennes et alors que le Parti Socialiste a obtenu 14,5%, commande la coalisation des partis de gauche, ayant le droit à 230 candidats sur les 570 de cette cette alliance honteuse des gauches – a choisi de soutenir Aurélien Le Coq. « Conformément à l’accord du « Nouveau Front populaire » qui prévoit des candidatures uniques au premier tour dans l’ensemble des circonscriptions du pays, nous demandons le retrait de toute candidature dissidente et le soutien de l’ensemble des formations politiques », a écrit le parti dans un communiqué. « Toutes les forces doivent être maintenant mises dans la bataille autour des candidats et candidates uniques investis par nos organisations dans tout le pays. »

Sur « BFMTV », Aurélien Le Coq a estimé que ce choix « permet de retrouver une candidature unitaire du « Nouveau Front populaire » » et estime qu’Adrien Quatennens a « fait preuve de responsabilité ». « La question est de savoir comment nous allons faire campagne pour réussir à l’emporter », a-t-il également déclaré.

Didier Maréchal & Christian Estevez

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