Archives du mot-clé Londres

Royaume-Uni : Londres et Manchester annoncent des arrestations contre les appels à l’« intifada » lors de manifestations propalestiniennes

Les polices de Londres et de Manchester ont annoncé qu’elles procéderaient désormais à l’arrestation de manifestants propalestiniens qui lanceraient des appels à l’« intifada » lors de rassemblements publics. Cette décision a été officialisée mercredi 17 décembre par les chefs des deux forces de police, Mark Rowley pour Londres et Stephen Watson pour Manchester, dans un contexte sécuritaire jugé aggravé.

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Programme de défense SAFE : l’UE réclame 6,7 milliards d’euros au Royaume-Uni, Londres propose… 75 millions

Le bras de fer se poursuit entre Bruxelles et Londres au sujet de l’intégration du Royaume-Uni au programme européen de défense SAFE (Security Action For Europe). Alors que l’Union européenne réclame une contribution de 6,7 milliards d’euros, le gouvernement britannique s’apprête, selon le Financial Times, à proposer une participation de 75 millions d’euros, soit à peine plus de 1 % du montant demandé.

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Angleterre : Anthony Williams, auteur présumé de l’attaque au couteau dans un train, soupçonné d’être impliqué dans trois autres incidents violents

L’homme soupçonné d’avoir poignardé dix personnes samedi soir à bord d’un train reliant Peterborough à Londres, en Angleterre, a été identifié. Anthony Williams, 32 ans, domicilié à Langford Road, Peterborough, a brièvement comparu lundi 3 novembre devant le tribunal de première instance de Peterborough. Il est accusé de plusieurs tentatives de meurtre, de coups et blessures volontaires et de possession d’arme blanche.

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Angleterre : onze blessés dans une attaque à l’arme blanche dans un train reliant Doncaster à Londres, un suspect interpellé

Une attaque à l’arme blanche a semé la panique samedi 1er novembre à bord d’un train reliant Doncaster à Londres. L’agression, survenue vers 19h40 heure locale (20h40 à Paris), a fait onze blessés, dont neuf grièvement atteints, selon la police britannique des transports. L’incident s’est produit alors que le train faisait route vers la gare d’Huntingdon, près de Cambridge. Un suspect a été interpellé dans la soirée.

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Londres : un professeur israélien menacé de décapitation en plein cours par des « propalestiniens » à la City University

Un incident choquant a eu lieu ce mercredi 22 octobre à la City University de Londres, lorsqu’un groupe d’individus masqués « proélastiens » (prétexte principale pour justifier le racisme envers les juifs) a fait irruption dans un amphithéâtre pour menacer de décapiter le professeur Michael Ben-Gad, enseignant en économie d’origine israélienne.

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Plusieurs milliers de manifestants réunis à Paris et Londres pour soutenir les otages israéliens

À deux jours du deuxième anniversaire de l’attaque du 7 octobre 2023, qui avait marqué le début du conflit entre Israël et le Hamas, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées ce dimanche à Paris et à Londres pour réclamer la libération des otages israéliens encore détenus dans la bande de Gaza. Ces mobilisations, empreintes d’émotion et d’espoir, ont réuni des citoyens de tous horizons, déterminés à rappeler que des dizaines de personnes demeurent toujours captives.

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Une cyberattaque provoque des perturbations dans plusieurs grands aéroports européens provoquant plusieurs annulations de vols

Une cyberattaque ciblant un logiciel d’enregistrement des passagers a semé la pagaille samedi dans plusieurs aéroports européens. Survenue vendredi soir, elle a entraîné de nombreux retards et annulations de vols, en particulier à Bruxelles, Berlin et Londres.(Source : AFP).

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Iran – Israël : en Cisjordanie des colons attaquent des soldats israéliens, Paris, Berlin et Londres unis contre les menaces iraniennes contre Rafael Grossi (AIEA), etc… ( point du 30 juin)

Le conflit entre Israël et l’Iran continue de secouer le Moyen-Orient, avec des répercussions directes tant sur la scène internationale qu’au sein même de la société israélienne. Alors que les tensions militaires persistent, un épisode inédit s’est produit en Cisjordanie occupée, où des colons israéliens ont attaqué des soldats de leur propre armée. En parallèle, Paris, Berlin et Londres condamnent fermement les menaces visant le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), et le bilan humain des frappes iraniennes sur Israël continue de s’alourdir avec 28 morts recensés. Voici le point complet.

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Guerre en Ukraine : les discussions prévues à Londres reportées, tandis que Poutine aurait proposé un cessez-le-feu le long de la ligne de front

Alors que les efforts diplomatiques se multiplient pour mettre fin à plus de trois années de guerre en Ukraine, une nouvelle étape devait se jouer ce mercredi à Londres. L’Ukraine, les États-Unis et plusieurs pays européens devaient s’y retrouver pour un nouveau cycle de pourparlers. Mais le rendez-vous a été reporté à la dernière minute, a annoncé le ministère britannique des Affaires étrangères, invoquant une reprogrammation sans fournir de nouvelle date.

Malgré cela, les discussions se poursuivent en coulisses. « Les discussions entre conseillers se poursuivent mais sont fermées aux médias », a précisé le Foreign Office. Ce round de négociations faisait suite à des échanges similaires tenus à Paris la semaine précédente.

Une délégation ukrainienne tout de même présente

Kiev était censée être représentée à Londres par plusieurs hauts responsables : le chef de l’administration présidentielle Andriï Iermak, le ministre de la Défense Roustem Oumerov, et le vice-ministre des Affaires étrangères Andriï Sybiga. Le Royaume-Uni devait accueillir également le général Keith Kellogg, émissaire spécial des États-Unis pour l’Ukraine, et Emmanuel Bonne, conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, au nom de la France.

Bien que la rencontre ministérielle ait été ajournée, Andriï Iermak a confirmé sa présence à Londres ce mercredi avec deux ministres ukrainiens. Il a réaffirmé sur Telegram la volonté de Kiev de continuer à œuvrer pour la paix, précisant que les discussions porteraient notamment sur « les moyens de parvenir à un cessez-le-feu complet et inconditionnel ».

Un cessez-le-feu proposé par Moscou ?

Selon le Financial Times, le président russe Vladimir Poutine aurait récemment proposé un gel des combats sur la ligne de front actuelle, à condition que certaines de ses exigences soient acceptées. Parmi elles : la reconnaissance internationale de l’annexion de la Crimée par la Russie (datant de 2014) et la garantie que l’Ukraine ne rejoindra jamais l’OTAN.

L’émissaire états-unien Steve Witkoff aurait été informé de cette proposition lors d’une rencontre avec les Russes début avril. Il est d’ailleurs attendu cette semaine à Moscou, même si aucune date précise n’a été dévoilée par la Maison Blanche ou le Kremlin.

De leur côté, les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, semblent vouloir accélérer les discussions. Trump a déclaré dimanche espérer un accord « dans la semaine », sans en révéler les détails. Selon des médias états-uniens, le plan envisagé inclurait une reconnaissance informelle du contrôle russe sur la Crimée, mais maintiendrait la souveraineté ukrainienne sur les territoires occupés depuis 2022, malgré leur occupation militaire russe.

Des désaccords majeurs entre alliés

Mais cette approche divise. Kiev et ses alliés européens, notamment la Pologne et les pays baltes, exigent un retour aux frontières d’avant 2014, ce qui inclut la Crimée. Une position qualifiée d’« irréaliste » par le ministre états-unien de la Défense Pete Hegseth en février dernier.

La cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, a de son côté critiqué mardi l’approche des États-Unis, affirmant que Washington n’a pas encore utilisé tous les outils diplomatiques et économiques à sa disposition pour faire pression sur Moscou.

Vers des négociations directes ?

Face à cette situation complexe, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que l’Ukraine était prête à engager des discussions directes avec la Russie, mais uniquement après l’instauration d’un cessez-le-feu. Cette ouverture fait suite à des signaux de Moscou laissant entendre que Vladimir Poutine serait favorable à la reprise de négociations bilatérales.

Par ailleurs, Zelensky a révélé vouloir s’entretenir avec Donald Trump ce samedi au Vatican, où tous deux assisteront aux obsèques du pape François. Cette rencontre pourrait être décisive pour l’évolution des négociations.

Une fenêtre diplomatique fragile

Pour l’instant, les pourparlers progressent avec prudence. À l’issue de la réunion de Paris, le secrétaire d’État états-unien a rappelé que Washington pourrait se retirer des discussions si elles apparaissaient vouées à l’échec. « Il n’y a pas de calendrier strict, mais nous voulons régler cela rapidement », a déclaré Trump vendredi dernier.

Alors que les combats se poursuivent sur plusieurs fronts et que la Russie a repris ses frappes aériennes, les espoirs d’un cessez-le-feu durable restent minces, mais le climat diplomatique semble évoluer. Les prochaines semaines seront cruciales pour déterminer si la paix est encore envisageable ou si le conflit risque de s’enliser davantage.

Guerre en Ukraine : Ce qu’il faut retenir de la première réunion à Paris entre Américains, Européens et Ukrainiens

Les échanges sur la situation en Ukraine, tenus jeudi à Paris avec la participation de hauts responsables américains, ont été jugés “excellents” par l’Élysée. La présidence française a mis en avant l’importance d’avoir lancé un “processus positif incluant les Européens”. Une nouvelle rencontre est prévue la semaine prochaine à Londres.(Avec : AFP et Reuters).

La France a salué un « excellent échange » sur l’Ukraine jeudi 17 avril à Paris, dans un format « inédit » entre Américains, Ukrainiens, Français, Britanniques et Allemands. Une réunion qui a « permis de converger » sur l’objectif d’une « paix solide » entre Kiev et Moscou.

« Nous avons déclenché aujourd’hui à Paris un processus qui est positif et auquel les Européens sont associés », s’est félicitée la présidence française à l’issue d’une série de réunions notamment autour d’Emmanuel Macron, du secrétaire d’État américain Marco Rubio et de Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump.

Une nouvelle réunion des émissaires de ces cinq pays est prévue la semaine prochaine à Londres, en présence notamment de Steve Witkoff, alors que les Européens craignent depuis des semaines d’être mis à l’écart des négociations entre les États-Unis et la Russie.

Selon un conseiller d’Emmanuel Macron, les responsables ukrainiens et européens ont souligné leur « soutien commun » à « l’objectif du président Donald Trump de mettre fin rapidement à la guerre en Ukraine » et à « la nécessité d’un cessez-le-feu complet le plus rapidement possible ».

Ce cessez-le-feu devrait « se baser sur la ligne de contact (ligne de front) telle qu’elle est », en tenant compte des territoires ukrainiens « occupés par la Russie », a estimé l’Élysée.

Selon un communiqué du département d’État, le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a appelé dans la soirée son homologue russe Sergueï Lavrov pour lui faire part des discussions à Paris, soulignant que « la paix est possible » si chacune des parties s’engagent à un accord.

« L’accueil encourageant réservé à Paris au cadre américain montre que la paix est possible si toutes les parties s’engagent à parvenir à un accord », a-t-on ajouté de même source.

« Les Américains sont prêts à discuter la question des garanties de sécurité »

Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Donald Trump a réengagé de manière spectaculaire le dialogue avec la Russie de Vladimir Poutine, laissant craindre à Kiev et aux Européens une négociation à laquelle ils ne seraient pas associés. L’Ukraine et les États-Unis sont finalement tombés d’accord sur le principe d’un cessez-le-feu complet, mais la Russie n’y a pas encore répondu favorablement.

De leur côté, une « coalition de volontaires », essentiellement européens, travaille sous la houlette de la France et du Royaume-Uni à des « garanties de sécurité » à apporter à Kiev dans le cadre d’un futur accord de paix, y compris une possible « force de réassurance » à déployer en Ukraine. Mais plusieurs de ces pays exigent un filet de sécurité américain pour y participer.

« Les Américains sont prêts à discuter la question des garanties de sécurité », s’est borné à dire jeudi à l’issue des rencontres parisiennes la présidence française, assurant que Washington « apprécie » le travail franco-britannique en ce sens.

« Il y a une volonté de travailler très étroitement avec nos partenaires ukrainiens, avec nos partenaires américains, de telle façon que la paix qui devra être négociée entre l’Ukraine et la Russie soit au bénéfice évidemment de l’Ukraine et aussi de la sécurité de tous en Europe », a encore dit l’entourage d’Emmanuel Macron.

Il a estimé que la présence de Marco Rubio et Steve Witkoff démontrait « l’importance qu’ils accordent » au « rôle des Européens ».