Le président français Emmanuel Macron a annoncé qu’il travaillait à une mise à jour de la doctrine nucléaire française, qui sera dévoilée officiellement début 2026. Cette annonce, faite au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, intervient dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et après l’observation d’un cargo russe au large de Saint-Nazaire.
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La Corée du Nord n’abandonnera jamais le nucléaire, dit un ministre à l’ONU
La Corée du Nord n’abandonnera jamais son droit à être une puissance nucléaire, a affirmé lundi le ministre nord-coréen adjoint des Affaires étrangères lors d’un rare discours à l’Assemblée générale de l’ONU.(Source : AFP).
Lire la suite La Corée du Nord n’abandonnera jamais le nucléaire, dit un ministre à l’ONUNucléaire : l’Iran ripostera si les Européens « exploitent » le rapport de l’AIEA à des fins « politiques » et menace de frapper militairement Israël
Le pays a encore accéléré son rythme de production d’uranium hautement enrichi, selon un rapport confidentiel de l’AIEA divulgué samedi et jugé « politique » par l’Iran. Téhéran craint la réactivation de sanctions onusiennes.(Avec : AFP).
La tension est montée d’un cran entre l’Iran et l’union européenne. Téhéran a annoncé une riposte si les pays européens « exploitent » à des fins politiques un rapport de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) selon lequel le pays a accéléré sa production d’uranium hautement enrichi.
La France, le Royaume-Uni et l’Allemagne sont avec la Russie et la Chine membres d’un accord pour encadrer le programme nucléaire iranien conclu avec la République islamique en 2015, et dont les Etats-Unis se sont retirés unilatéralement trois ans plus tard durant le premier mandat de Donald Trump. L’AIEA tiendra du 9 au 13 juin à Vienne (Autriche) un Conseil des gouverneurs, une importante réunion trimestrielle durant laquelle seront notamment passées en revue les activités nucléaires de l’Iran.
Paris, Londres et Berlin ont menacé ces dernières semaines d’enclencher un mécanisme prévu dans l’accord de 2015 qui permet le rétablissement de sanctions onusiennes si l’Iran ne respecte pas ses engagements.
« L’Iran répondra à toute action inappropriée des parties européennes », a déclaré son chef de la diplomatie, Abbas Araghchi lors d’un appel samedi avec le patron de l’AIEA Rafael Grossi. Abbas Araghchi a appelé l’AIEA à empêcher « certaines parties d’exploiter » le rapport « pour faire avancer leurs objectifs politiques » contre l’Iran, selon des propos rapportés dimanche par la diplomatie iranienne.
Selon le rapport de l’AIEA, la quantité totale d’uranium enrichi de l’Iran dépasse désormais de 45 fois la limite autorisée par l’accord de 2015 et s’élève à 9.247,6 kg. Le gendarme onusien du nucléaire note une nette hausse de l’uranium enrichi à 60 %, seuil se rapprochant des 90 % nécessaires pour fabriquer une arme nucléaire, d’après un bilan d’étape consulté par l’AFP.
Un accord en négociation avec les Etats-Unis
Ce rapport a été divulgué alors que Washington et Téhéran mènent des discussions depuis plusieurs semaines pour tenter de trouver un nouvel accord.
Samedi, l’Iran a dit avoir reçu des « éléments » d’une proposition américaine à l’issue de cinq cycles de négociations menés sous la médiation d’Oman et a affirmé sur X par la voix de son ministre des Affaires étrangères qu’il y répondra de manière appropriée.
La proposition américaine faite à l’Iran est « acceptable » et dans le « meilleur intérêt » de Téhéran selon la Maison-Blanche, citée samedi par les médias américains. Elle est décrite comme une série de points à puces plutôt qu’un projet d’accord complet par le quotidien américain New York Times, qui cite des responsables au fait des échanges diplomatiques.
La proposition appelle l’Iran à cesser tout enrichissement d’uranium et propose la création d’un groupe régional pour produire de l’énergie nucléaire, qui inclurait l’Iran, l’Arabie saoudite et d’autres Etats arabes ainsi que les Etats-Unis. Ni l’Iran ni les Etats-Unis n’ont commenté ces affirmations.
Les pays occidentaux, Etats-Unis en tête, et Israël, ennemi juré de l’Iran et considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, soupçonnent Téhéran de vouloir se doter de l’arme nucléaire.
L’Iran se défend d’avoir de telles ambitions militaires mais insiste sur son droit au nucléaire civil notamment pour l’énergie, en vertu du Traité de non-prolifération (TNP) dont il est signataire.
Le pays est toutefois le seul Etat non doté d’armes nucléaires à enrichir de l’uranium à un niveau élevé, bien au-delà de la limite de 3,67 % fixée par l’accord de 2015, selon l’AIEA.
L’Iran menace Israël d’une frappe militaire
Lundi 2 juin 2025, le général de division Abdolrahim Mousavi, commandant en chef de l’armée iranienne, a lancé un avertissement direct à Israël, déclarant que Téhéran était « pleinement prêt » à lancer une attaque en réponse aux menaces militaires répétées de l’État hébreu.
Cette déclaration intervient alors que les tensions régionales restent élevées, sur fond de négociations sensibles entre l’Iran et les États-Unis autour du programme nucléaire iranien. Selon le général Mousavi, si Israël persistait dans ses menaces, l’Iran mènerait une riposte ciblée, qu’il qualifie de « frappe appropriée ». Il a également fait allusion à une « dette » non précisée qu’Israël devrait selon lui à l’Iran :
« S’ils sont pressés de recevoir une nouvelle opération Promesse Véritable, nous sommes pleinement prêts », a-t-il déclaré.
Visite américaine en Israël
Cette déclaration intervient également alors que la secrétaire à la Sécurité intérieure des États-Unis, Kristi Noem, s’est rendue à Jérusalem pour rencontrer le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. Les deux responsables ont discuté des avancées et blocages des négociations nucléaires entre Washington et Téhéran.
Le déplacement de la responsable américaine semble illustrer l’importance stratégique que les États-Unis accordent à leur allié israélien dans le contexte actuel, tout en poursuivant des discussions diplomatiques avec l’Iran.
Négociations relancées, mais incertaines
Les pourparlers entre l’Iran et les États-Unis ont repris la semaine dernière, mais aucune avancée concrète n’a encore été annoncée. Téhéran cherche notamment un allègement des sanctions économiques, tandis que Washington souhaite des garanties sur le gel ou la réduction du programme nucléaire iranien.
Malgré ce contexte tendu, le président américain Donald Trump a adopté un ton plus optimiste en déclarant lundi lors d’une conférence de presse :
« Nous avons eu des discussions très, très bonnes avec l’Iran. Une percée pourrait être imminente. »
Une escalade à éviter
Les déclarations du général Mousavi illustrent la fragilité de la situation au Moyen-Orient, où un incident ou une provocation pourrait rapidement dégénérer en conflit ouvert. Tandis que la diplomatie tente de progresser, les menaces militaires rappellent que le spectre d’une confrontation directe entre l’Iran et Israël reste bien présent.
L’Indonésie veut se convertir au nucléaire pour réussir son ambitieuse transition énergétique
L’Indonésie veut se convertir rapidement au nucléaire pour répondre à la demande croissante d’électricité, mais les experts se montrent sceptiques en raison du coût et de la difficulté historique de Jakarta à réaliser de grands travaux. (Source : AFP)
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Les États-Unis d’Amérique et l’Iran ont achevé, ce dimanche 11 mai, à Mascate (Oman), un quatrième cycle de négociations sur le programme nucléaire iranien. Si aucun accord concret n’a été annoncé, les deux parties affichent un optimisme prudent, saluant des échanges plus ouverts que lors des précédentes rencontres.
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Les tensions autour du programme nucléaire iranien se ravivent. Au lendemain de discussions entre les États-Unis et l’Iran à Oman, Washington a durci le ton. Ce dimanche 13 avril, le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, a menacé Téhéran de représailles militaires si les pourparlers n’aboutissaient pas. En parallèle, l’Union européenne s’inquiète des retombées sur sa sécurité et appelle à des négociations conformes à ses intérêts.
Washington hausse le ton
Lors d’un entretien avec CBS, Pete Hegseth a affirmé :
« Si on ne parvient pas à résoudre le problème à la table des négociations, il existe d’autres options pour s’assurer que l’Iran n’obtienne jamais de bombe nucléaire. »
Il a ajouté :
« Avec ce qu’on fait face aux Houthis et dans la région, on a montré notre capacité à frapper loin et très fort. On ne veut pas en arriver là, mais s’il le faut, on le fera. »
Cette déclaration intervient après des pourparlers jugés « très constructifs » par les deux parties, menés samedi à Oman, pays jouant le rôle de médiateur. Les États-Unis cherchent à empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, alors que les relations diplomatiques entre les deux pays sont rompues depuis 1980.
Reprise du dialogue malgré les tensions
Les discussions à Oman marquent un pas vers la reprise du dialogue. Depuis son retrait de l’accord sur le nucléaire iranien en 2018, Washington avait durci sa position. Toutefois, le président Donald Trump a récemment renoué le contact en mars en adressant une lettre à Téhéran pour rouvrir les négociations. Il a également averti qu’un échec diplomatique pourrait conduire à des frappes militaires, tout en imposant de nouvelles sanctions contre le secteur pétrolier iranien.
L’Europe reste vigilante
Du côté européen, la reprise des négociations est bien accueillie, mais suscite des préoccupations sécuritaires. Jean-Noël Barrot, ministre français des Affaires étrangères, a déclaré ce lundi à Luxembourg :
« Nous accueillons favorablement cette démarche, mais nous serons vigilants avec nos amis et partenaires britanniques et allemands à ce que les négociations soient bien conformes à nos intérêts de sécurité. »
L’Europe redoute que l’Iran franchisse un seuil nucléaire qui compromettrait sa sécurité régionale. La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni entendent donc jouer un rôle de surveillance dans le cadre de ces nouvelles discussions.
Rome, prochaine étape diplomatique
Selon l’agence italienne ANSA, un deuxième cycle de négociations est prévu à Rome, suite à une demande des États-Unis, de l’Iran et du sultanat d’Oman. Le ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani, a confirmé que l’Italie avait donné une réponse positive à cette initiative.
Visite de l’AIEA à Téhéran
Autre signe d’une dynamique diplomatique en cours : Rafael Grossi, directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), se rendra mercredi à Téhéran, selon l’agence iranienne IRNA. Cette visite vise à évaluer sur le terrain l’état réel du programme nucléaire iranien.
Sanctions européennes contre l’Iran
Enfin, en marge de la réunion des ministres européens des Affaires étrangères à Luxembourg, l’Union européenne a adopté des sanctions contre sept ressortissants et deux organisations iraniennes. Une réponse directe à la détention arbitraire de plusieurs citoyens européens par le régime iranien.
Alors que le dialogue semble reprendre, le climat reste tendu. Entre menaces américaines, inquiétudes européennes et enjeux géopolitiques majeurs, les jours à venir seront décisifs pour l’avenir du nucléaire iranien – et pour la stabilité régionale et internationale.
Nucléaire : l’Iran pose ses conditions à l’AIEA et appelle à un accord « sérieux et équitable » avec les États-Unis
L’Iran pourrait suspendre sa coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) si les menaces « externes » persistaient, a dit jeudi un conseiller du guide suprême iranien, une mise en garde qui intervient après que Donald Trump a évoqué un recours à la force contre Téhéran.(Avec AFP et Reuters ).
Des diplomates iraniens doivent rencontrer samedi à Oman des émissaires américains pour discuter du programme nucléaire de Téhéran, alors que le président Trump a averti le régime iranien d’un « grand danger » s’il estimait que les négociations aboutissaient à une impasse.
« Les menaces externes continues et les menaces d’une attaque militaire contre l’Iran pourraient mener à des mesures de dissuasion telles que l’expulsion d’inspecteurs de l’AIEA et la fin de la coopération avec elle », a écrit sur X, Ali Shamkhani, conseiller de l’ayatollah Ali Khamenei.
« Le transfert de matériel enrichi vers des lieux sécurisés et non divulgués pourrait aussi être à l’ordre du jour », ajoute-t-il.
Donald Trump a annoncé en début de semaine que les négociations qui doivent se tenir entre les deux parties seraient directes avant que l’Iran ne contredise le président américain, illustrant les tensions entre les deux rivaux.
Téhéran rejette depuis plusieurs semaines la proposition de Donald Trump de négocier directement un accord sur son programme nucléaire, en dépit de la menace du président américain d’un recours à la force militaire.
Donald Trump avait, lors de son premier mandat, retiré les États-Unis en 2018 de l’accord sur le nucléaire conclu entre l’Iran et les grandes puissances en 2015, et rétabli les sanctions économiques contre Téhéran.
L’Iran a depuis largement dépassé les limites fixées par l’accord de Vienne en matière d’enrichissement de l’uranium, selon l’AIEA.
L’Iran affirme chercher un accord « sérieux et équitable » avec Washington
L’Iran a affirmé vendredi rechercher un accord « sérieux et équitable » sur le nucléaire avec les Etats-Unis, à la veille de pourparlers inédits entre les deux pays ennemis samedi à Oman.
L’Iran a affirmé vendredi rechercher un accord « sérieux et équitable » sur le nucléaire avec les Etats-Unis, à la veille de pourparlers inédits entre les deux pays ennemis samedi à Oman.
Ces discussions visent à négocier un nouvel accord sur le nucléaire iranien, malgré la pression croissante exercée par Washington et les menaces du président américain, Donald Trump, de recourir à l’option militaire en cas d’échec.
« Loin de se donner en spectacle et de se contenter de parler devant les caméras, Téhéran cherche un accord sérieux et équitable », a déclaré vendredi Ali Shamkhani, un conseiller de haut niveau du guide suprême Ali Khamenei.
Le précédent accord, conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, était devenu caduc après le retrait des Etats-Unis en 2018, pendant le premier mandat de Donald Trump.
L’émissaire américain pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, et le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, doivent participer aux discussions dans le sultanat d’Oman.
M. Witkoff était en visite vendredi en Russie, un pays allié de l’Iran, après des consultations au niveau des experts qui se sont tenues mardi à Moscou entre la Russie, la Chine et l’Iran.
« Nous donnons une véritable chance à la diplomatie, en toute bonne foi (…) L’Amérique devrait apprécier cette décision, qui a été prise en dépit de sa rhétorique hostile », a déclaré vendredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï.
« Nous avons l’intention d’évaluer les intentions et le sérieux de l’autre partie samedi et d’ajuster nos actions en conséquence », a-t-il dit, en assurant que l’Iran aborderait les pourparlers sans « préjugé ».
Une escalade
Ces pourparlers s’ouvrent après des semaines de guerre des mots entre les deux pays, alors que l’Iran cherche à obtenir une levée des sanctions américaines qui étranglent son économie.
L’Iran a aussi subi ces derniers mois les effets des revers militaires infligés par Israël à ses alliés, le Hamas dans la bande de Gaza et le Hezbollah au Liban. Ces conflits ont été marqués par des attaques militaires réciproques entre Israël et l’Iran, pour la première fois après des années de guerre par procuration.
Les Occidentaux, Etats-Unis en tête, soupçonnent depuis des décennies l’Iran de vouloir se doter de l’arme nucléaire. Téhéran rejette ces allégations et affirme que ses activités dans le nucléaire se limitent à des fins civiles.
Après avoir créé la surprise en annonçant lundi ces pourparlers, Donald Trump a déclaré mercredi qu’une intervention militaire contre l’Iran était « tout à fait » possible s’ils n’aboutissaient pas.
En mars déjà, il avait envoyé une lettre au guide suprême, l’exhortant à négocier et l’avertissant d’une éventuelle intervention militaire en cas de refus.
L’Iran a prévenu jeudi que de telles menaces pourraient entraîner l’expulsion des inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
Une telle mesure constituerait « une escalade et un mauvais calcul de la part de l’Iran », a réagi Washington.
Téhéran se dit ouvert à des négociations indirectes, mais refuse tout dialogue direct sous la pression, alors que les Etats-Unis ont imposé cette semaine de nouvelles sanctions visant son programme nucléaire et son secteur pétrolier.
Stratégie vouée à l’échec
Le chef de l’agence nucléaire iranienne, Mohammad Eslami, a minimisé vendredi l’impact de ces sanctions. « Ils ont exercé une pression maximum avec différentes sanctions, mais ont été incapables d’empêcher le pays d’avancer », a-t-il dit.
Les nouvelles sanctions montrent que Washington est « un ennemi de l’Iran et de son peuple », a écrit le journal conservateur Kayhan en qualifiant de « stratégie vouée à l’échec » la tentative d’obtenir leur levée.
Plusieurs médias réformateurs espèrent au contraire de potentielles retombées positives pour l’économie iranienne.
Un éventuel accord remplacerait le précédent conclu en 2015 entre l’Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni), plus l’Allemagne, qui prévoyait la levée de certaines sanctions internationales en échange d’un encadrement du programme nucléaire iranien.
Berlin a souligné vendredi l’importance de parvenir à une « solution diplomatique ».
En 2018, Donald Trump avait retiré avec fracas son pays de l’accord et rétabli les sanctions américaines.
En représailles, l’Iran a pris ses distances avec le texte et accéléré son programme nucléaire. Il a notamment accru son niveau d’enrichissement de l’uranium jusqu’à 60%, très au-dessus de la limite de 3,67% imposée par l’accord, se rapprochant du seuil de 90% nécessaire à la fabrication d’une bombe atomique.
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