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Guerre en Ukraine : les États-Unis suspendent certaines livraisons d’armes à l’Ukraine face à l’épuisement de leurs stocks

Alors que la Russie intensifie ses frappes contre l’Ukraine, l’administration Trump a décidé de suspendre l’envoi de certaines armes pourtant promises à Kyiv, invoquant des préoccupations sur l’état des stocks militaires américains. Une décision qui marque un tournant dans l’approche américaine du conflit et qui pourrait avoir des conséquences lourdes pour la défense ukrainienne.

Une suspension motivée par la priorité aux intérêts américains

Selon plusieurs responsables de la Maison Blanche, les États-Unis ont interrompu la livraison de certains missiles de défense aérienne et d’autres systèmes d’armement destinés à l’Ukraine, initialement promis sous l’administration Biden. L’objectif affiché : préserver les capacités de défense des États-Unis eux-mêmes.

« Cette décision a été prise pour faire passer les intérêts des États-Unis en premier, à la suite d’un examen du soutien et de l’assistance militaires de notre nation à d’autres pays dans le monde », a déclaré Anna Kelly, porte-parole de la Maison Blanche.

Le Pentagone a confirmé que les stocks de certaines armes étaient désormais insuffisants, sans toutefois spécifier lesquelles. Cette mesure s’inscrit également dans le contexte d’un vaste programme de modernisation de l’arsenal militaire américain, rendu possible par une récente réforme fiscale et budgétaire adoptée par le Congrès.

Une décision au moment où Moscou accentue sa pression militaire

Ce retrait partiel du soutien militaire américain survient alors que l’armée russe multiplie les frappes en Ukraine. Le mois de juin a vu un nombre record de drones lancés par la Russie : 5 438, contre 4 198 en mars, selon l’armée de l’air ukrainienne. Les attaques de missiles, bombardements et assauts ciblés se sont également intensifiés sur plusieurs fronts.

Pour Kyiv, cette décision américaine pourrait compliquer davantage la défense de son espace aérien, notamment dans les zones urbaines et proches des lignes de front.

Berlin sous pression, mais reste prudent

Face à ce désengagement partiel des États-Unis, les regards se tournent vers les alliés européens. L’Allemagne, notamment, est régulièrement appelée à livrer des missiles de croisière Taurus à l’Ukraine. Ces armes, dotées d’une capacité de pénétration de structures fortifiées, sont particulièrement adaptées aux besoins de l’armée ukrainienne dans sa lutte contre les infrastructures militaires russes.

Le chancelier allemand Friedrich Merz a cependant temporisé. « Il a toujours été clair que si nous fournissons le Taurus, cette arme ne sera pas utilisée par les soldats allemands, mais par les Ukrainiens », a-t-il déclaré, tout en réaffirmant que la question de la livraison restait « à l’étude ». Merz a également écarté toute participation militaire directe de l’Allemagne au conflit.

Le missile Taurus est comparable aux SCALP français et Storm Shadow britanniques déjà livrés à Kyiv, mais avec une ogive plus performante contre des cibles enterrées. Cette spécificité fait de lui un atout stratégique que l’Ukraine réclame depuis le début de l’invasion en 2022.

En suspendant certaines livraisons d’armes, les États-Unis modifient l’équilibre du soutien occidental à l’Ukraine. Alors que la Russie renforce son offensive, la question désormais centrale est de savoir si les alliés européens, déjà engagés, seront prêts et capables de combler ce vide stratégique.

Guerre en Ukraine : Vladimir Poutine se dit prêt à négocier malgré des divergences profondes

Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que Moscou était disposé à entamer un nouveau cycle de négociations directes avec l’Ukraine, bien que les positions des deux pays restent profondément opposées. Selon lui, les propositions russes et ukrainiennes contenues dans leurs mémorandums respectifs sont « diamétralement opposées ». Néanmoins, il a confirmé l’existence de contacts « permanents » entre les équipes de négociateurs, en vue de préparer un éventuel troisième round de pourparlers.

S’exprimant depuis Minsk, le chef du Kremlin a précisé que les responsables russes et ukrainiens discutaient actuellement de la date d’une possible rencontre. Poutine a aussi indiqué que les conditions d’un cessez-le-feu jusqu’ici rejeté par Moscou devraient faire partie des sujets abordés.

Malgré ces déclarations, la situation sur le terrain ne montre aucun signe de désescalade. La guerre, qui entre dans sa quatrième année, est marquée par des échanges continus de frappes de drones à longue portée. Les deux précédents cycles de négociations entre Moscou et Kyiv, organisés à Istanbul, ont été brefs et sans issue concrète.

Le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Oumerov, a affirmé que l’Ukraine souhaitait que la prochaine étape des négociations soit une rencontre entre les présidents Zelensky et Poutine. Cependant, cette éventualité semble peu probable à court terme. Le président russe a souligné qu’un sommet ne serait envisageable que si les principales dispositions d’un accord de paix avaient d’abord été entérinées, ce qui, selon lui, pourrait prendre des mois, voire des années.

Par ailleurs, M. Poutine a réitéré sa position selon laquelle Volodymyr Zelensky aurait perdu sa légitimité présidentielle après l’expiration de son mandat en 2024 une affirmation que Kyiv et ses alliés occidentaux rejettent catégoriquement.

Intensification des attaques de drones

Sur le plan militaire, la nuit de jeudi à vendredi a été marquée par une intensification des attaques de drones. L’armée de l’air ukrainienne a déclaré que la Russie avait lancé 363 drones de type Shahed et huit missiles contre plusieurs régions d’Ukraine. Selon cette même source, la défense aérienne ukrainienne aurait intercepté tous les drones sauf quatre, et abattu six missiles de croisière.

De son côté, le ministère russe de la Défense a affirmé avoir abattu 39 drones ukrainiens dans différentes régions, dont 19 dans celle de Rostov et 13 dans celle de Volgograd, à l’est de l’Ukraine. Ces frappes illustrent la centralité des drones dans le conflit, où chaque camp rivalise de technologies pour gagner un avantage stratégique.

Début juin, une opération ukrainienne secrète utilisant des drones bon marché aurait permis de détruire ou d’endommager une partie significative de la flotte de bombardiers stratégiques russes, selon des sources ukrainiennes.

Situation à Sumy : l’Ukraine affirme avoir contenu les forces russes

Sur le front nord-est, le général Oleksandr Syrsky, commandant en chef des forces armées ukrainiennes, a annoncé jeudi que l’armée ukrainienne avait stoppé l’avancée russe dans la région de Sumy, près de la frontière russe. Il a indiqué que cette manœuvre avait empêché Moscou de redéployer environ 50 000 soldats, dont des unités aéroportées et maritimes, vers d’autres axes offensifs.

Selon Kyiv, face à l’augmentation des attaques combinées de missiles et de drones, l’armée ukrainienne aurait adopté de nouvelles contre-mesures, notamment l’emploi de drones intercepteurs développés localement pour neutraliser les engins russes. Moscou n’a pas commenté ces affirmations.

Les combats dans la région de Sumy avaient auparavant causé des pertes civiles et des destructions importantes. Les forces ukrainiennes, en infériorité numérique, affirment utiliser des drones pour freiner la progression ennemie.

Négociations au point mort

Malgré les efforts internationaux, notamment ceux des États-Unis, les tentatives de médiation n’ont jusqu’ici abouti à aucun accord de cessez-le-feu. Les négociations se poursuivent, mais leurs avancées restent limitées, à l’exception de quelques échanges de prisonniers de guerre entre les deux camps.

Dans ce contexte tendu, la perspective de nouvelles négociations directes suscite à la fois espoir et scepticisme, alors que les combats se poursuivent sur l’ensemble de la ligne de front.

Vérif’ Infos : Guerre en Ukraine – Non, ces images ne prouvent pas la préparation d’une riposte russe « disproportionnée »

Des images montrant des convois militaires russes circulent largement sur les réseaux sociaux, accompagnées d’affirmations selon lesquelles la Russie préparerait une riposte militaire « disproportionnée » à l’encontre de l’Ukraine. Pourtant, ces vidéos datent de plusieurs mois et ne prouvent en rien une escalade imminente du conflit.

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Guerre Russie-Ukraine : l’Union européenne renforce la pression économique sur la Russie pour « favoriser » un retour aux négociations

L’Union européenne poursuit sa stratégie de pression économique contre Moscou dans le cadre du conflit russo-ukrainien. À quelques jours du sommet du G7 prévu au Canada du 15 au 17 juin, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a proposé, mardi 10 juin, de durcir les sanctions économiques visant la Russie, en particulier dans le secteur pétrolier. L’objectif affiché : contraindre la Russie à engager des pourparlers sérieux en vue d’un cessez-le-feu.

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La Pologne en alerte maximale après une attaque russe “intense” dans l’ouest de l’Ukraine : Moscou lance une offensive inédite sur la région de Dnipropetrovsk – Nouveau revers pour l’Ukraine

Ce Lundi 9 juin, la Pologne a activé son niveau d’alerte le plus élevé et fait décoller des avions de chasse, après une attaque aérienne massive menée par la Russie contre l’ouest de l’Ukraine. Des frappes d’une intensité rare ont touché la région de Rivne, frontalière de la Pologne, pays membre de l’OTAN. Dans le même temps, Moscou a annoncé une avancée militaire inédite dans la région de Dnipropetrovsk, marquant un tournant stratégique dans un conflit qui entre dans sa quatrième année.

Une attaque d’envergure dans l’ouest ukrainien

Dans la nuit du 8 au 9 juin, des dizaines de drones et de missiles russes ont visé la région de Rivne, selon le maire de la ville Oleksandr Tretyak. Le gouverneur régional, Oleksandr Koval, a évoqué une “nuit très difficile”, marquée par une “frappe aérienne ennemie massive” qui a fait au moins un blessé civil. La capitale ukrainienne, Kiev, a également été touchée : un immeuble résidentiel a été endommagé, selon les autorités locales.

Réaction rapide de la Pologne : avions en vol, défenses activées

Face à cette escalade militaire près de ses frontières, la Pologne a réagi sans tarder. L’état-major polonais a déclaré sur X (anciennement Twitter) que :

“En raison de l’attaque aérienne intense de la Fédération de Russie sur le territoire de l’Ukraine, des avions polonais et alliés ont commencé à opérer dans l’espace aérien polonais dans la matinée.”

Des avions de chasse ont été déployés par paires, tandis que les systèmes de défense aérienne et de radar au sol ont été mis en alerte maximale. Les autorités précisent qu’il s’agissait d’une mesure préventive, couramment employée lorsque des attaques russes visent l’ouest de l’Ukraine, région frontalière de l’UE.

Plus tard dans la journée, l’état-major a confirmé que “les opérations ont été interrompues” et que “les forces déployées sont revenues à leur fonctionnement normal”. Aucune violation de l’espace aérien polonais n’a été détectée.

Moscou ouvre un nouveau front : offensive dans la région de Dnipropetrovsk revers pour l’Ukraine

En parallèle, l’armée russe a annoncé une avancée militaire majeure : une offensive en direction de Dnipropetrovsk, une région stratégique jusqu’ici relativement épargnée par les combats terrestres depuis le début de la guerre en février 2022.

“Les unités de la 90e division blindée (…) ont atteint la frontière ouest de la République populaire de Donetsk et poursuivent leur offensive sur le territoire de Dnipropetrovsk”, a communiqué l’armée russe.

Il s’agit d’une première depuis plus de trois ans de conflit, signalant un possible changement d’échelle dans les ambitions militaires russes. Moscou a également revendiqué la prise du village de Zarya, dans la région voisine de Donetsk.

Cette percée constitue un nouveau revers pour les forces ukrainiennes, en manque d’hommes et d’armements, alors que les lignes de front semblent de plus en plus difficiles à défendre.

Bombardements meurtriers et pression humanitaire

Dans le district de Synelnykivskyi, à l’est de Dnipropetrovsk, un bombardement russe a tué au moins une personne, selon le chef du conseil régional Mykola Loukachouk. Il évoque également des attaques combinées (drones, artillerie, lance-roquettes multiples) sur la zone de Nikopol, endommageant des lignes électriques et plusieurs habitations.

Ces nouvelles attaques renforcent l’impression d’un resserrement de l’étau russe autour de Dnipro, capitale régionale de près d’un million d’habitants.

Échange de prisonniers menacé, tension diplomatique croissante

Ces événements surviennent dans un contexte diplomatique sensible. Moscou et Kiev s’accusent mutuellement de saboter un échange de prisonniers prévu ce week-end. Ce dernier devait constituer le seul résultat concret des pourparlers directs récemment entamés entre les deux parties.

Pendant ce temps, les États-Unis et leurs alliés européens multiplient les discussions pour relancer des négociations plus larges, dans un climat rendu instable par l’intensification des combats.

Une guerre qui déborde aux frontières de l’OTAN ?

Le décollage d’avions polonais souligne l’extrême fragilité sécuritaire du flanc est de l’OTAN. Si aucune violation de l’espace aérien n’a été constatée, la proximité croissante des frappes russes avec le territoire polonais ravive les inquiétudes sur une éventuelle escalade accidentelle du conflit au sein de l’Alliance atlantique.

Avec cette nouvelle offensive à l’est et les frappes intenses à l’ouest, la Russie semble vouloir étendre simultanément la pression militaire et politique, alors que l’Ukraine, épuisée par trois ans de guerre, peine à contenir les assauts.

France: Renault envisage de produire des drones en Ukraine

Le groupe au losange confirme avoir été contacté par le ministère des armées pour s’associer à une PME française afin de produire des drones militaires. D’autres alliances de ce type devraient suivre.

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Lettonie : entre renforcement militaire et éducation à la défense, un effort accru face aux tensions régionales

Face aux tensions persistantes avec la Russie depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022, la Lettonie aux côtés de ses voisins baltes et de la Pologne renforce significativement ses dispositifs de sécurité à la frontière orientale de l’Union européenne. Ces mesures vont de la construction d’infrastructures militaires à l’intégration de formations de défense dans le système éducatif.

Une frontière fortifiée contre toute éventualité

La Lettonie, tout comme la Lituanie, l’Estonie, la Pologne et la Finlande, partage une frontière directe avec la Russie. Depuis le début du conflit russo-ukrainien, ces États craignent une extension potentielle du conflit sur leur territoire. En réponse, ils ont lancé un projet commun de fortification baptisé « ligne de défense baltique ». La Lettonie, de son côté, prévoit d’investir 303 millions d’euros dans le renforcement de sa frontière d’ici 2028.

Parmi les mesures adoptées figurent la pose de barrières anti-chars, appelées « dents de dragon », et la préparation éventuelle de champs de mines. L’objectif est de rendre cette frontière « à l’épreuve des blindés ». Ces installations font de cette zone l’une des frontières les plus sécurisées de l’Union européenne.

Une mobilisation militaire renforcée

À Ādaži, sur la base militaire de l’OTAN en Lettonie, environ 3 000 soldats issus de 14 pays membres de l’Alliance s’entraînent régulièrement pour répondre à différents scénarios d’urgence. Le ministre letton de la Défense, Andris Sprūds, a confirmé que la présence des troupes alliées serait renforcée. Les dépenses militaires lettones représentent déjà plus de 3 % du PIB, avec un objectif affiché de 5 % dans les prochaines années, suivant les recommandations de l’OTAN.

L’enseignement militaire s’invite dans les écoles

En parallèle des efforts militaires traditionnels, la Lettonie a introduit un programme d’enseignement militaire obligatoire dans les établissements secondaires. Ce programme prévoit 112 heures de formation incluant des cours sur la stratégie, le camouflage, le maniement d’armes à air comprimé, l’alphabet militaire de l’OTAN ou encore l’histoire militaire nationale. Cette initiative vise à familiariser les jeunes citoyens avec les bases de la défense nationale.

À Riga, des élèves de l’école de tourisme témoignent d’un réel intérêt pour ces formations, qu’ils considèrent comme utiles dans un contexte sécuritaire tendu. D’autres pays comme la Pologne appliquent déjà des mesures similaires, et la Lituanie envisage de suivre cette voie.

Vers une autonomie accrue de l’Europe en matière de défense ?

Dans un entretien avec Euronews, le ministre letton de la Défense a souligné l’importance de maintenir une dissuasion crédible face à la Russie, qualifiée par Andris Sprūds d’« acteur agressif » sur la scène internationale. Il a également insisté sur la nécessité d’investir davantage dans les domaines stratégiques tels que la technologie militaire, la défense aérienne, l’intelligence artificielle et la production d’armement à l’échelle européenne.

Concernant l’éventualité d’une armée européenne commune, Sprūds a réaffirmé son attachement à l’OTAN, estimant que l’Alliance doit rester le socle de la sécurité du continent, tout en devenant plus réactive et technologiquement avancée.

Un climat sécuritaire sous tension

À l’heure où les services de renseignement des États baltes évoquent un risque possible d’escalade impliquant la Russie, la Lettonie mise sur une approche globale : renforcement des frontières, coopération avec l’OTAN, hausse des budgets militaires, et formation de la jeunesse. Pour les autorités, la priorité reste claire : protéger chaque centimètre du territoire national et européen.

Guerre en Ukraine : la Russie met en garde et dénonce une escalade dangereuse après la levée des restrictions sur les armes occidentales à longue portée à l’Ukraine

La Russie a vivement réagi aux récentes déclarations du chancelier allemand Friedrich Merz, dénonçant une nouvelle provocation de la part des pays occidentaux qui, selon elle, franchissent une ligne rouge en autorisant l’Ukraine à utiliser des armes de longue portée contre le territoire russe.

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Guerre en Ukraine : le général russe Andreï Mordvitchev donné pour mort par l’Ukraine en 2022 nommé chef des forces terrestres russes

Le général Andreï Mordvitchev a été officiellement nommé, jeudi, à la tête des forces terrestres de l’armée russe, selon une annonce du ministère de la Défense relayée sur Telegram. Cette nomination intervient dans le cadre d’un remaniement militaire, après le départ de son prédécesseur Oleg Salioukov, transféré à un autre poste.

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Espagne : un ex-député ukrainien pro russe tué par balles, dans le dos et à la tête, près de Madrid

Un ancien député ukrainien, proche de la Russie et sanctionné pour corruption par les États-Unis d’Amérique, a été abattu de plusieurs balles tirées dans le dos et la tête ce mercredi matin devant une école états-unien dans une banlieue chic près de Madrid, en Espagne.

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