France : les 26 départements qui vont être frappés par la canicule cet été

Le ministère de la Transition écologique a dressé une carte inquiétante avec les zones à fort risque de canicule cet été.

Selon les dernières prévisions du ministère des Transitions écologiques, la France risque de connaître un été très sec voire historique. La carte, publiée mercredi, classe 26 provinces en rouge, ce qui signifie qu’elles sont à risque « très élevé » de sécheresse, et 50 provinces en orange, ce qui signifie qu’elles sont à risque « probable » de sécheresse. Seuls 24 départements restent jaunes (risque probable), principalement dans le Nord-Ouest et le Nord-Est du pays. 

La situation est particulièrement préoccupante dans le Sud de la France, avec toute la côte méditerranéenne de la Corse aux Pyrénées-Orientales en état d’alerte maximale. Ces zones souffrent depuis des mois de graves pénuries de précipitations, entraînant un abaissement des nappes phréatiques et des cours d’eau. La région française la plus touchée est l’Occitanie, qui couvre 11 des 13 départements rouges. 

Le risque de sécheresse concerne aussi des zones plus au Nord, comme l’Île-de-France où quatre départements sont en rouge : Paris, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne. Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a expliqué, via une publication sur Twitter, que ces territoires étaient “particulièrement vulnérables aux épisodes de canicule”. Il a promis que ”dès aujourd’hui, nous anticipons les risques” face à cette montée des températures.

L’avertissement intervient quelques jours après qu’un rapport de l’Organisation météorologique mondiale a prédit que les cinq prochaines années (2023-2027) seraient les plus chaudes depuis le début de l’ère industrielle. Les impacts qui expliquent ces conditions extrêmes comprennent le réchauffement climatique et les événements de « El Niño », qui sont à 98 % susceptibles d’être responsables de la chaleur record dans le monde. 

Face à ce constat alarmant, il a appelé à « prévoir les risques » et à prendre des mesures écologiques et économes en eau. Il a également annoncé que le gouverneur prendra des mesures restrictives si la situation ne s’améliore pas. Jusqu’à présent, 16 gouvernement ont déjà publié des réglementations limitant la consommation d’eau dans des secteurs spécifiques.

La sécheresse estivale est un phénomène qui tend à s’aggraver avec le réchauffement climatique. Les températures moyennes en France ont augmenté de 1,7°C depuis 1900 et les précipitations ont baissé de 7°C depuis 1959, selon Météor France. Ces tendances se poursuivront probablement dans les années à venir, avec des implications importantes pour l’agriculture, la biodiversité et la santé humaine.

Une augmentation naturelles des température

Il est essentiel de préciser, tout de même, que ces augmentations de température que nous connaissons sur Terre depuis quelques années sont loin d’être la faute de l’activité de notre espèce – raccourci inventé par le capitalisme vert qui utilise cette science qu’est l’écologie en faisant nombre de raccourcis, fausses vérités, etc… afin de pouvoir augmenter ses profits de manière considérable en proposant de fausses solutions pour éviter une catastrophe écologique qui, s’il est réelle, est à un degré très largement inférieur que les discours veulent présenter comme la réalité.

Par exemple, l’écologisme (qui est une idéologie n’ayant rien à voir avec « l’écologie », qui est une science) n’inclue jamais l’activité du soleil dans les raisons de ces fortes hausses de températures. Or, le soleil est, actuellement, dans son cycle 25 d’activités de tempêtes solaires violents. Ce 25ème cycle a débuté en 2008 et se terminera en 2027 – avec le pic de puissance prévu pour l’année 2025 -, laissant la place, ensuite, à une forte baisse de son activité qui aura pour effet de provoquer une mini ère glacière, sur Terre, à partir de 2030, pour une durée d’une d’une vingtaine d’année.

Et, bien que le soleil n’ai pas connu d’éruption de plasma d’une violence exceptionnelle depuis 2013, il n’en reste pas moins que les tempêtes solaires qui ont lieu à la surface de notre étoile sont les premières causes des pics/vagues de chaleur ressentis sur notre planète. Aucun catastrophisme, de fait, à avoir vis à vis des grosses chaleurs qui nous attendent cette année et jusqu’à, au moins, 2027… Ce qui ne dédouane pas notre espèce de son apport à ce réchauffement de la Terre qui, bien que très largement inférieur à ce qu’affirment certains, peut – et doit – tout de même être réduit pour permettre à l’espèce humaine d’assurer sa présence sur Terre pour le plus de temps possible. Mais c’est, plus que tout, en évitant la surconsommation de services et produits manufacturés que le capitalisme fait passer pour nécessaire au bonheur humain alors qu’ils nous en rendent, en réalité, les esclaves, que doit se faire notre relation avec notre Terre-mère.

Joseph Kouamé & Christian Estevez

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