Ce mercredi 10 avril, peu avant 20 heures, une attaque au couteau a eu lieu près du « Miroir d’eau » sur les quais de la Garonne, à Bordeaux (France), entraînant le décès d’une personne et blessant une autre. L’assaillant a été abattu par des policiers alors qu’il tentait de prendre la fuite.
La piste terroriste est formellement écartée par les autorités (et comme essaient de le justifier les médias ) alors que les détails de l’affaire indiquent, sans équivoque possible, qu’il s’agit bien d’un attentat terroriste, et non pas d’une « rixe due à une affaire privée ».
La piste terroriste est formellement écartée au lendemain de l’attaque au couteau à Bordeaux, qui a entraîné la mort de deux personnes – incluant l’assaillant abattu par la police et blessé une autre,. Son disant, le mobile se précise : Armé d’un couteau, l’homme a poignardé deux individus en raison de ce que les autorités françaises et l’ensemble de la presse qualifient de « différend sur fond de consommation d’alcool durant le ramadan », ce jeudi.
Les faits
Mercredi soir, peu avant 20 heures, l’attaque a eu lieu près du « Miroir d’eau », un lieu de promenade populaire sur les quais de la Garonne dans le centre de Bordeaux. L’agression a coûté la vie à un homme de 37 ans, de nationalité algérienne, et a blessé un autre homme de 27 ans, également algérien.
Sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on voit un homme se pencher vers le bas comme pour donner des coups de couteau. Le bas de la scène est caché par une haie, mais on entend crier « Arrête ».
Selon les premiers éléments de l’enquête, la piste terroriste a été « totalement écartée », avait indiqué une source policière, mercredi dans la soirée, ajoutant qu’il n’y avait « pas eu a priori de propos islamistes tenus par l’auteur ».
Une vision volontairement biaisée de la réalité des faits?
Selon les informations, dont la vidéo, l’agresseur, un musulman habillé qamis, (code vestimentaire islamiste, importé du Moyen-Orient) et se baladant avec un couteau (ce que font tous les terroristes islamistes) aurait reproché aux deux hommes, algériens et, se devant, selon l’idéologie islamistes, de pratiquer la « charia », de boire de l’alcool pendant le ramadan, qui s’est achevé ce mercredi soir. Voilà donc un homme – l’agresseur – qui s’autorise à sanctionner des buveurs d’alcool le jour de l’Aid. Et les autorités judiciaires françaises osent appeler cela une « simple rixe » entre des personnes appartenant à la même « communauté »!? Justifiant cette qualification « rixe » de ce qui est, bel et bien un attentat islamiste, parce que le meurtrier n’aurait pas crier « Allah Akbar », comme si tout meurtre motivé par l’islam devait, obligatoirement, s’accompagner d’un « Allah Akbar »?
Les faits étant qu’un fanatique religieux poignarde deux autres « arabo-musulmans » parce qu’ils osent ne pas obéir à la « charia » ne sont, par la police et la justice, pas un attentat islamiste commis au nom de la religion? Mais de qui se moque – t’on? Il faut être profondément naïf, idiot, incompétent, pour ne pas comprendre que, tuer quelqu’un parce qu’il ne respecte pas la « charia », ce ne peut être rien d’autre qu’une attaque terroriste islamique! La seule autre raison pour laquelle quelqu’un peut être amené à nier cette évidence, c’est tout simplement la mauvaise foi!
De plus l’agresseur a d’abord tenté de prendre la fuite mais, ayant été repéré « peu de temps » après, par les forces de l’ordre, selon les informations données à la presse, alors qu’il tentait de s’en prendre aux policiers, l’un des agents a tiré trois coups de feu à l’aide d’un pistolet-mitrailleur HK G36. Touché deux fois au thorax et une fois au poignet,, l’assaillant est décédant de ses blessures.
Deux enquêtes ouvertes
Sur une autre vidéo, diffusée sur les réseaux sociaux, on voit un policier mettre en joue avec un fusil-mitrailleur un homme qui s’effondre et dévale quelques marches avant de glisser au sol. Un corps était toujours sur place vers 22h30, selon une journaliste de l’AFP.
À ce stade, l’homme n’a toujours pas été identifié. Deux enquêtes ont été ouvertes. Une première, concernant les faits, par le parquet de Bordeaux. C’est la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) qui est saisie des investigations – prouvant la négation de la reconnaissance qu’il s’agit d’un attentat islamiste. Une seconde enquête, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), devra préciser les conditions dans lesquelles le policier a fait usage de son arme.
La procureure de la République de Bordeaux, Frédérique Porterie, doit tenir une conférence de presse, ce jeudi, en fin d’après-midi.
Christian Estevez & Joseph Kouamé