Archives pour la catégorie jeux olympiques

JO de Paris 2024 : Une étude prévoit 52 médailles dont 27 en or aux Jeux Olympiques pour la France

Une étude de Gracenote de Nielsen suggère que la France pourrait remporter 52 médailles aux Jeux olympiques de Paris. Ce cabinet publie mensuellement des prévisions sur le nombre de médailles que chaque pays devrait obtenir lors de la prochaine olympiade.

D’après une étude de Gracenote de Nielsen, qui s’est projeté sur les prochains Jeux Olympiques de Paris l’été prochain, la France obtiendrait 52 médailles, dont 27 en or, ce qui la classerait au 5e rang des pays en nombre de breloques, au 3e au niveau des médailles d’or.

Gracenote de Nielsen a publié ce mois-ci un tableau virtuel, réactualisé tous les mois, des médailles que remporteraient les différents pays lors des prochains Jeux Olympiques de Paris. Dans son étude, le cabinet s’est appuyé sur les résultats obtenus par les sportifs de chaque pays lors des principales compétitions mondiales et continentales depuis les Jeux d’été de 2021 à Tokyo.

Selon les projections, la France pourrait remporter 52 médailles en juillet et août prochains, par rapport à 33 en 2021. Ces médailles se répartiraient en 27 en or (contre 10 en 2021), 14 en argent et 11 en bronze. En termes de nombre total de médailles, la France occuperait la 5e place, derrière les États-Unis (121 médailles), la Chine (85), la Grande-Bretagne (65) et le Japon (53). Cependant, si l’on se concentre uniquement sur les médailles d’or, la France se positionnerait en troisième place, juste après les États-Unis (37) et la Chine (37). Reste à savoir si ces prévisions se concrétiseront.

France : Un ordinateur et des clés USB contenant des plans de sécurisation des Jeux Olympiques de Paris ont été volés à l’intérieur d’un train de banlieue

Des plans de sécurisation des Jeux olympiques pour la mairie de Paris, stockés sur un ordinateur et des clés USB, ont été dérobés à la gare du Nord. Une enquête a été lancée.

Quoi qu’il en soit, cette affaire est emblématique de l’amateurisme dont font preuves les personnes en charge de ces jeux, comme nous l’expliquons à la fin de cet article.

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Patinage : La Russie et le Canada contestent le podium du patinage par équipes des JO 2022

Les patineurs russes et canadiens contestent, devant la justice sportive, le podium de l’épreuve par équipes des Jeux olympiques (JO) de 2022 établi après la suspension de la Russe Kamila Valieva pour dopage, a annoncé, ce lundi 26 février, le Tribunal arbitral du sport (TAS). (Source : AFP).

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JO Paris 2024 : le Tribunal arbitral du sport confirme la suspension du Comité olympique russe par le CIO

Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté l’appel du comité olympique russe, qui contestait sa suspension décidée mi-octobre par le Comité international olympique (CIO) en lien avec le conflit en Ukraine, a annoncé l’instance basée à Lausanne vendredi. Le comité olympique russe avait saisi le TAS le 6 novembre.

Ce vendredi 23 févr , le Tribunal arbitral du sport (TAS) a officiellement rejeté l’appel du comité olympique russe, qui contestait sa suspension infigée par le Comité international olympique (CIO). Le CIO entend ainsi sanctionner le placement sous l’autorité de l’instance russe des organisations sportives des régions de Donetsk, Kherson, Louhansk et Zaporijjia, situées dans l’est de l’Ukraine et occupées par l’armée russe, rappelle le TAS dans un communiqué.

La juridiction basée à Lausanne indique par ailleurs que sa décision est, à son niveau, « définitive et contraignante » mais qu’elle peut faire l’objet d’un appel dans un délai de 30 jours auprès du Tribunal fédéral suisse. A la veille du deuxième anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le TAS estime que le CIO « n’a pas mis à mal les principes de légalité, d’égalité, de prédictibilité et de proportionnalité ».

Réuni à Bombay le 12 octobre dernier pour sa 141e session, le CIO avait bousculé son agenda pour réagir à la « décision unilatérale » prise une semaine plus tôt par le comité olympique russe (ROC) d’annexer quatre organisations sportives ukrainiennes. D’après l’instance olympique, cette initiative russe constitue une « violation de l’intégrité territoriale du comité national olympique ukrainien », donc de la Charte olympique.

La suspension désormais confirmée du ROC s’est ajoutée à une panoplie de sanctions prise par le CIO fin février 2022, juste après l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe: interdiction de toute compétition internationale sur le sol russe ainsi qu’au Bélarus allié, et de tous les symboles officiels des deux pays sur les terrains et les podiums mondiaux. Cette mesure du CIO a aussi pour effet de priver le ROC des financements olympiques.

Elle n’a en revanche aucune conséquence sur la présence d’athlètes russes et bélarusses n’ayant pas soutenu l’invasion russe de l’Ukraine, sous bannière neutre, aux JO-2024 de Paris, autorisée début décembre par le CIO.

JO Paris 2024 : l’armée prévoit de construire un site d’hébergement pour ses militaires en seulement 65 jours en développant une ville temporaire

Pour garantir la sécurité des Jeux olympiques à Paris, un camp temporaire de 10 000 militaires sera installé dans la capitale, spécifiquement sur la pelouse de Reuilly, située dans le Bois de Vincennes.

Des précautions de sécurité exceptionnelles sont mises en place pour un événement tout aussi exceptionnel. À 22 semaines du lancement de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, les détails du dispositif militaire chargé d’assurer la sécurité des sportifs et du public se révèlent progressivement. Dans une interview accordée au journal Le Parisien, le gouverneur militaire de Paris, Christophe Abad, a fourni plus d’informations sur la logistique exceptionnelle mise en œuvre pour encadrer les Jeux.

Tandis que 10.000 soldats seront déployés en Île-de-France pour assurer la sécurité de la compétition, qui se déroule à cheval entre les mois de juillet et août, un camp militaire pouvant accueillir 4.500 membres des forces armées, « essentiellement de l’Armée de terre » va être monté sur la pelouse de Reuilly, à une des extrémités du Bois de Vincennes.

« On commencera à installer le camp fin avril, avec une fin de montage début juillet », explique le général Christophe Abad au Parisien, justifiant la localisation du campement par un besoin de se situer « au plus près du cœur de Paris ».

Le camp, d’après le gouverneur militaire, sera comparable aux standards de ceux que l’on monte lors des opérations extérieures à l’étranger », avec la mise à disposition de « chalets en bois démontables qui peuvent accueillir 25 personnes et [qui] sont climatisés pour faire face aux chaleurs estivales ».

« Tout le monde doit faire des efforts »

Et si cette période empiète sur la traditionnelle Foire du Trône, le général Abad explique que celle-ci sera « avancée dans le temps et légèrement réduite ».

« On ne l’a pas fait pour embêter les forains. Tout le monde doit faire des efforts, quel que soit le secteur d’activités. J’ai besoin de disposer du terrain pour monter un camp militaire, en partant de rien, en 65 jours », justifie le gouverneur militaire de Paris.
« On fait sortir une vraie ville de terre », résume Christophe Abad.

Un important dispositif pour sécuriser la Seine

L’armée se chargera aussi de sécuriser les bateaux qui participeront à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques prévue sur la Seine. Un moment sous très haute protection.

Une zone protégée pour « accueillir les bateaux des délégations, les ordonner, les pavoiser et les sécuriser, en surface et dans les coques », sera mise en place à Ivry-Charenton.

« Une fois inspectés, ils resteront dans cette bulle sécuritaire impénétrable d’environ 3 km de long, du 15 au 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture, détaille le gouverneur militaire de Paris. Un bataillon de 700 à 800 personnes y sera dédié, car c’est une mission extrêmement sensible, 24 heures sur 24 », précise-t-il.

Enfin, questionné sur une éventuelle défaillance des effectifs de sécurité privée, le général affirme que l’armée ne se défausserait pas et assurerait quoi qu’il arrive les missions de sécurité des Jeux.

« Mais il ne faudrait pas que, par facilité, l’engagement massif des armées obère les capacités de la France à défendre les intérêts suprêmes de la Nation, y compris hors du territoire national », rappelle-t-il.

JO Paris 2024 : à peine distribués aux premiers écoliers, les livrets pédagogiques accompagnés d’une pièce de 2 euros font déjà polémique

D’ici à juin, tous les élèves du CP au CM2 recevront des livrets pédagogiques sur les Jeux olympiques ainsi qu’une pièce commémorative de la Monnaie de Paris. Cette action du gouvernement pose problème vis à vis de son coût alors qu’Emmanuel Macron a indiqué qu’il fallait que l’Etat français récupère 10 milliards d’euros pour son budget 2024. (Avec Franceinfo).

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JO Paris 2024 : testée positive, l’escrimeuse française Ysaora Thibus renonce à l’analyse de l’échantillon B

Ysaora Thibus, la fleurettiste française, a décidé de ne pas procéder à l’analyse de l’échantillon B suite à un contrôle positif à l’ostarine.

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JO 2024 : Le maire de Coubron ignorait qu’il allait accueillir l’événement!

Le maire de Coubron, en Seine-Saint-Denis, exprime son mécontentement de n’avoir pas été consulté par le comité d’organisation des jeux olympiques que des épreuves se dérouleront dans sa commune.

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JO 2024 : Tony Estanguet, président du comité d’organisation, visé par une enquête sur les conditions de sa rémunération

Le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) de Paris, Tony Estanguet, est visé par une enquête ouverte récemment par le parquet national financier et portant sur les conditions de sa rémunération, a appris franceinfo. Dans un communiqué, le Cojop dit « découvrir avec étonnement cette information ».

La justice a ouvert une enquête sur les conditions de rémunération de Tony Estanguet, en tant que président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop), a appris mardi dernier franceinfo de source proche du dossier, confirmant une information de l’AFP.

Tony Estanguet a perçu une rémunération annuelle de 270 000 euros bruts jusqu’en 2020, selon des chiffres communiqués par le Cojop en 2018. Cette rémunération était ensuite susceptible d’évoluer dans une limite de 20%, en fonction de certains critères de performance, avait indiqué le Cojop à l’époque. Ce comité est une association de type loi 1901, pour lesquelles la rémunération des dirigeants est plafonnée par la loi. Mais ce plafond ne s’applique que pour les associations à gestion désintéressée, c’est-à-dire non lucratives. Or, en l’occurrence, il y a des recettes, notamment la billetterie. Il s’agit donc d’une association à gestion « intéressée » et le salaire n’est pas plafonné.


Un « comité des rémunérations »

Contacté par le service des Sports de Radio France, le Cojop indique de son côté dans un communiqué de presse que le comité « découvre avec étonnement cette information ». « Pour rappel, le cadre de la rémunération du président du Comité d’organisation est très strictement encadré », précise encore le Cojop. « Comme nous l’avons toujours fait auprès de l’ensemble des organes de contrôle, Paris 2024 est prêt à répondre aux questions relatives à sa gestion », précise le Cojop au service des Sports de Radio France.

En 2018, à la naissance de Paris 2024, un comité des rémunérations a été créé, composé de plusieurs DRH de grandes entreprises françaises mais également de représentants de l’Etat et de la ville de Paris. Ce comité a alors entamé une analyse du marché et comparé les salaires des dirigeants sportifs français. Il est arrivé à un montant 270 000 euros assorti de deux primes variables. Un niveau de rémunération deux fois inférieur à celui du président de la Ligue de football professionnel, par exemple.

Le 2 mars 2018, lors d’une séance en l’absence de Tony Estanguet, cette somme a été proposée par le président de ce comité des rémunérations, l’ancien PDG de la RATP et de La Poste, Jean-Paul Bailly, et a été adoptée par le conseil d’administration. Avec un communiqué de presse publié dans la foulée.

Un régime de « travailleur indépendant »

Autre question qui se pose, le statut de Tony Estanguet. Dès 2019, le Cojop s’est aperçu, après consultation d’un grand cabinet d’avocat, qu’un président d’association bénéficie d’un mandat, et pas d’un contrat de travail. Il ne peut pas être salarié. C’est la raison pour laquelle, explique le Cojop, Tony Estanguet a créé sa société pour facturer ses prestations au Cojop en tant que travailleur indépendant, sous forme de bénéfice non-commerciaux. Un montage qualifié d' »atypique » il y a trois ans par l’Agence française anticorruption (AFA).

Mais Paris 2024 assure qu’il avait été validé dès 2019 par le contrôle général économique et financier. C’est alors que le montant traduit du brut au net est passé de 270 000 euros à 239 000 euros. Par ailleurs, le Cojop promet dans un communiqué que ces factures de la société de Tony Estanguet font l’objet d’un audit annuel indépendant.

JO Paris 2024 : Le Comité international olympique (CIO) répond à Agbegnenou concernant la garde des enfants au village olympique.

Mère d’une fillette d’un an et demi, la sextuple championne du monde de judo française, Clarisse Agbegnenou, a exprimé dimanche 4 février, sur l’antenne de la radio monégasque « RMC », son désir de partager sa chambre avec sa fille au village olympique lors des prochains Jeux de Paris. En réponse à une question de « RMC Sport » jeudi 8 février, le Comité international olympique a formulé sa réponse.

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